Fenbendazole : ce qu’il faut vraiment savoir

Le fenbendazole : un espoir pour la santé humaine ?

Fenbendazole : mécanismes, dosages et protocole complet pour un soutien anticancer naturel

Le fenbendazole — souvent nommé Fenben ou commercialisé sous le nom Panacur — appartient à la famille des benzimidazoles.

Utilisé depuis 1974 comme antiparasitaire vétérinaire, il bénéficie aujourd’hui d’un intérêt croissant pour son potentiel anticancéreux.

Plusieurs observations et analyses préliminaires suggèrent en effet que ce vermifuge largement utilisé pourrait être repositionné dans l’accompagnement thérapeutique du cancer, ses mécanismes d’action rappelant ceux de certaines chimiothérapies comme le Taxol ou les alcaloïdes de la vinca.

Tolérance et caractéristiques

Selon les données toxicologiques disponibles, le fenbendazole est généralement bien toléré chez l’être humain, bien que les études cliniques restent limitées.

Il se présente sous forme de poudre blanche peu soluble et affiche une absorption digestive relativement faible ; cependant, sa biodisponibilité augmente lorsqu’il est consommé après un repas riche en graisses. Lors d’une supplémentation hors repas gras, une cuillère à soupe d’huile d’olive vierge est toute indiquée pour augmenter la biodisponibilité.


Comment le fenbendazole agit-il sur les cellules cancéreuses ?

Initialement conçu pour bloquer la formation de microtubules dans les parasites via la β-tubuline, le fenbendazole a montré des effets comparables sur les cellules tumorales.

Plusieurs mécanismes anticancéreux sont actuellement étudiés :


1. Induction de l’apoptose

Le médicament interfère avec la β-tubuline, ce qui provoque un arrêt du cycle cellulaire et mène à la mort programmée des cellules.

Le blocage de la polymérisation des microtubules chez les parasites comme dans les cellules cancéreuses humaines est aujourd’hui bien décrit dans la littérature scientifique.


2. Réduction de l’utilisation du glucose

Les tumeurs consomment le glucose jusqu’à 200 fois plus rapidement que les cellules saines — un phénomène connu sous le nom d’effet Warburg.

Le fenbendazole contribue à priver les cellules cancéreuses de carburant en :

  • réduisant l’absorption du glucose,
  • diminuant les transporteurs GLUT (GLUT1, GLUT4),
  • inhibant l’Hexokinase II, enzyme clé de la glycolyse tumorale.

La restauration de la protéine p53 participe également à cette régulation, contribuant à freiner l’approvisionnement énergétique des cellules malignes.


3. Réactivation possible du gène p53

Même si ce point nécessite encore des études plus approfondies, plusieurs travaux indiquent que le fenbendazole pourrait stimuler p53, l’un des principaux gènes suppresseurs de tumeurs.

À titre d’exemple, les éléphants possèdent 20 copies de p53, ce qui expliquerait en partie leur faible incidence de cancer, contrairement à l’humain qui n’en possède qu’une seule.


4. Aucune chimiorésistance connue

Contrairement à de nombreux traitements anticancéreux qui perdent en efficacité à cause des pompes d’efflux P-glycoprotéines, le fenbendazole n’est pas expulsé par ces mécanismes.

Résultat : les cellules cancéreuses ne développent pas de résistance connue, et le médicament continue d’exercer son action sans perte d’efficacité — un avantage majeur par rapport au paclitaxel, à la vincristine, au docétaxel ou à la vinblastine.


5. Sensibilisation à la radiothérapie

Le fenbendazole pourrait également augmenter la sensibilité des tumeurs à la radiothérapie, un effet déjà observé avec les taxanes.



Protocoles et dosages : guide complet


Protocole initial – Complément du traitement du cancer

  • Fenbendazole 222 mg : 1 capsule 3 jours par semaine, après un repas gras. Pause de 4 jours, puis reprise.
  • Vitamine E 800 UI : 1 prise quotidienne après un repas.
  • Curcumine 600 mg biodisponible : 1 capsule deux fois par jour (après petit-déjeuner et déjeuner).
  • Huile de CBD 25 mg : 1 à 2 gouttes sous la langue avant le coucher.
  • Apport multi vitaminique optimisant le fenbendazole

Protocole renforcé – Version quotidienne

  • Fenbendazole 222 mg : 1 capsule tous les jours, après un repas gras.
  • Vitamine E 800 UI : quotidienne.
  • Curcumine 600 mg : deux fois par jour.
  • Huile de CBD 25 mg : chaque soir.

Ce protocole est souvent présenté comme bien toléré chez les personnes n’ayant pas de pathologie hépatique ou rénale.


Prévention des rechutes – Prophylaxie

Recommandations supplémentaires :

  • contrôle des marqueurs tumoraux tous les quelques mois ;
  • prévention de la charge hépatique,
  • imageries annuelles ;
  • espacement progressif des contrôles après cinq années sans récidive.

Prévention du cancer

  • Fenbendazole 222 mg : 3 prises par semaine, suivies de 4 jours d’arrêt, pendant 10 semaines.
    Puis pause de 10 semaines et répétition du cycle.
  • Vitamine E 800 UI : quotidienne.
  • Curcumine 600 mg : deux fois par jour.
  • Huile de CBD 25 mg : chaque soir, sous la langue.
  • Apport multi vitaminique optimisant le fenbendazole

Sécurité, tolérance et effets secondaires possibles

Dans l’ensemble, les benzimidazoles comme le fenbendazole et l’albendazole sont considérés comme peu toxiques. Toutefois :

  • Jusqu’à 5 % des utilisateurs rapportent maux d’estomac ou diarrhée en cas de doses trop importantes sans pause.
  • Les personnes souffrant d’insuffisance hépatique ou rénale sévère peuvent présenter une accumulation du médicament, d’où la nécessité d’adapter les doses.
  • Une utilisation prolongée et intensive peut entraîner de légères élévations asymptomatiques des enzymes hépatiques, généralement réversibles après deux semaines d’arrêt.

Pour soutenir le foie, beaucoup recommandent :

  • Chardon-Marie 250 mg, ou
  • Silymarine 150 mg par jour.

Le schéma 3 jours ON / 4 jours OFF vise justement à préserver la fonction hépatique, bien que certains utilisent désormais un rythme 5 jours ON / 2 jours OFF.


Conclusion : un potentiel thérapeutique qui mérite attention

Le fenbendazole suscite un intérêt mondial pour ses propriétés anticancéreuses multiples, sa bonne tolérance et l’absence apparente de résistance.

Bien qu’il reste nécessaire de disposer d’essais cliniques plus approfondis, les témoignages et résultats préliminaires encouragent une recherche plus active sur ce médicament longtemps cantonné à la parasitologie vétérinaire.


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