Le protocole anti-cancer du Dr Thomas Seyfried – le fenbendazole comme agent complémentaire

Le protocole métabolique du Dr Thomas Seyfried contre le cancer

Le Dr Thomas Seyfried, professeur de biologie au Boston College et expert renommé dans le domaine de la recherche sur le cancer, défend une vision radicalement différente de la maladie.

Contrairement au paradigme dominant qui considère le cancer comme une maladie génétique, le Dr Seyfried affirme qu’il s’agit avant tout d’un trouble métabolique centré sur le dysfonctionnement des mitochondries.

Son protocole, exposé dans cette vidéo de 11 minutes, repose sur cinq piliers fondamentaux visant à priver les cellules cancéreuses de leurs sources d’énergie essentielles.

Le Dr Thomas N.Seyfried nous explique:

« Notre programme de recherche explore les mécanismes par lesquels les interventions métaboliques peuvent influencer le développement et la progression de maladies chroniques telles que l’épilepsie, certains troubles neurodégénératifs liés au stockage lipidique, ainsi que le cancer. Ces approches incluent la restriction calorique, le jeûne thérapeutique et les régimes cétogènes.

Nous partons du principe que la modulation ciblée du métabolisme cellulaire active des voies compensatoires capables de modifier l’évolution de maladies complexes. En modifiant en profondeur l’environnement métabolique, il devient possible d’atténuer ou de neutraliser certaines altérations moléculaires pathogènes.

Dans le cas du cancer, ces stratégies visent spécifiquement les cellules tumorales, favorisant leur élimination, tout en préservant, voire en renforçant, le fonctionnement des cellules saines. Nous étudions les fondements neurochimiques et génétiques de ces effets à l’aide de modèles animaux innovants, en nous intéressant notamment à l’inflammation, aux fonctions cellulaires, à l’angiogenèse ainsi qu’à la biochimie des lipides. »

Une approche innovante centrée sur le métabolisme mitochondrial

1. Comprendre le cœur du problème : le cancer comme maladie métabolique

Selon le Dr Seyfried, les cellules cancéreuses survivent grâce à la fermentation de deux substrats énergétiques principaux : le glucose et la glutamine. Il déclare :

« Si vous privez les cellules tumorales à la fois de glucose et de glutamine, aucune – du moins parmi celles que nous avons étudiées – ne survit. »

Cette approche métabolique s’inscrit dans une stratégie visant à affamer les cellules tumorales sans nuire aux cellules saines, lesquelles peuvent fonctionner en état de cétose grâce aux corps cétoniques.

2. Réduction du glucose : le rôle clé du régime cétogène strict (voire carnivore)

La première étape consiste à éliminer toute source de glucides de l’alimentation. Cela implique un régime totalement exempt de sucres, incluant :

• Viande, poisson, œufs
• Eau, thé ou café sans édulcorant
• Aucune consommation de produits laitiers au début (en raison du lactose)
• Éviter tout aliment transformé ou pané

Cette alimentation « zéro glucide » permet au foie de déclencher la cétose – un état métabolique dans lequel les corps cétoniques deviennent la principale source d’énergie, à la place du glucose. Cependant, cet état est très fragile : la moindre consommation de sucre peut en interrompre le processus, nécessitant alors 18 à 36 heures pour se rétablir.

3. Inhibition de la glutamine : combiner jeûne et compléments naturels

La glutamine, second carburant des cellules cancéreuses, est plus difficile à éliminer que le glucose. Le Dr Seyfried souligne que seule une combinaison de jeûne hydrique prolongé ou de médicaments ciblés permet de la neutraliser totalement. En alternative naturelle, plusieurs composés présentent des effets inhibiteurs sur le métabolisme de la glutamine :

• Curcumine (extrait de curcuma)
• Berbérine
• Honokiol (extrait du magnolia)
• EGCG (présent dans le thé vert)
• Quercétine, resvératrol, apigénine*

*On trouve de l’apigénine notamment dans le persil, le céleri, le kumquat, la menthe, l’origan, le rutabaga, le thé.

Ces substances agissent en perturbant l’activité de la glutaminase – enzyme essentielle dans la transformation de la glutamine en glutamate – ou en bloquant son absorption cellulaire. Des inhibiteurs synthétiques tels que BPTES, CB-839 ou compound 968 sont également étudiés.

Pour une efficacité accrue, privilégier des formulations liposomales ou nanoparticulaires, disponibles via des fournisseurs spécialisés comme Fenben Pro Lab et Anastore

4. L’utilisation du fenbendazole comme agent complémentaire

Le fenbendazole, un antiparasitaire vétérinaire, suscite un intérêt croissant pour ses effets anticancéreux potentiels.

Des études indiquent qu’il agit en perturbant les microtubules cellulaires et en affectant plusieurs voies métaboliques clés, ce qui pourrait freiner la prolifération des cellules tumorales.

« Les résultats suggèrent que le fenbendazole est un agent interférant avec les microtubules, présentant une activité antinéoplasique prometteuse. »
Source : étude publiée dans les Scientific Reports.

Pour une meilleure absorption, le fenbendazole (2 000 mg de poudre pure sans goût) doit être intégré à des aliments gras cuits. Un produit recommandé est disponible ici Fenben Pro Lab.

5. Tests nutritionnels et dépistage des cofacteurs

Un point souvent négligé concerne les carences nutritionnelles, les métaux lourds et les infections parasitaires ou virales.

En résumé : une stratégie en 5 points

1. Adoptez une alimentation 100 % cétogène (ou carnivore)
2. Incorporez du fenbendazole dans vos repas
3. Prenez quotidiennement des inhibiteurs naturels de la glutamine (curcumine, berbérine, etc.)
4. Utilisez des compléments sous forme liposomale ou nanoparticulaire
5. Faites un bilan nutritionnel et antiparasitaire complet

Précautions importantes

Ce protocole ne remplace en aucun cas un avis médical qualifié. Il est essentiel de consulter votre médecin ou un professionnel de santé avant d’entreprendre tout changement thérapeutique.

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