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Le 30 octobre 2021, une femme de 83 ans est admise aux urgences pour une occlusion intestinale. Ce qui semblait être un simple trouble digestif révèle une réalité bien plus grave : une récidive métastatique de son ancien cancer du sein, diagnostiquée grâce à un PET scan et des analyses de sang.
Les métastases touchaient plusieurs organes vitaux : poumons, foie, reins, rate, pancréas, vésicule biliaire, et os.
Elle avait été soignée pour un cancer du sein œstrogéno-dépendant 11 ans auparavant, déclarée guérie après traitement, chirurgie, et suivi oncologique rigoureux. En 2019, elle recevait même un « tout est normal » de la part de ses médecins.
Trois semaines d’hospitalisation, dont une en soins intensifs, ont suivi. Faible, incapable de s’alimenter, sous sonde nasogastrique, et considérée comme inopérable, elle a reçu l’extrême-onction. Contre toute attente, son état s’est stabilisé, et elle a exprimé le désir de quitter l’hôpital.
L’équipe médicale a expliqué que les traitements conventionnels ne pouvaient pas guérir son cancer, seulement prolonger sa vie. Elle a alors pris une décision radicale : refuser chimiothérapie et radiothérapie, et rentrer chez elle sous soins palliatifs.
Sa famille découvre alors le fenbendazole, un antiparasitaire vétérinaire souvent utilisé chez les chiens. Plusieurs rapports de cas circulent sur Internet indiquant une possible action anticancéreuse de ce produit. Des études préliminaires suggèrent que le fenbendazole :
L’atout majeur ? Le fenbendazole semble cibler uniquement les cellules cancéreuses, sans endommager les cellules saines — donc sans effets secondaires notables.
Le 22 novembre 2021, la patiente commence un traitement avec 222 mg de fenbendazole par jour, trois à cinq fois par semaine, mélangé à du yaourt. Aucun autre traitement n’a été utilisé, à l’exception d’injections de fulvestrant (bloqueur d’œstrogènes).
Après seulement deux semaines, son état s’améliore : appétit, force, mobilité. En un mois, elle quitte l’hospice. En quelques mois, les marqueurs tumoraux (CA 27.29) chutent progressivement de 316 à 30, puis à 27.9.
Un second PET scan en avril 2022 confirme une absence totale d’activité métabolique cancéreuse.
Après 8 mois de prise régulière, elle arrête le fenbendazole. Ses taux d’ALT et d’AST (enzymes hépatiques) s’étaient brièvement élevés, probablement en lien avec les injections de fulvestrant. En août 2022, tout est redevenu normal.
Depuis, les marqueurs tumoraux continuent de baisser, même avec une réduction du rythme de prise (1 jour sur 2, puis 3 jours/semaine). En juin 2023, les médecins ne la considèrent plus comme une patiente cancéreuse. Elle est suivie tous les 3 à 6 mois.
Cette femme de 83 ans, autrefois condamnée, a vu ses métastases disparaître sans chimiothérapie ni radiothérapie. Le fenbendazole, peu coûteux, sans effet secondaire observé, pourrait offrir une piste de recherche prometteuse.
🔎 Prochainement : d’autres témoignages sur l’utilisation du fenbendazole contre différents types de cancer — poumon, pancréas, côlon, mélanome et plus encore. source
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Des recherches scientifiques récentes ont mis en avant le fenbendazole, un antiparasitaire vétérinaire, comme traitement complémentaire potentiel dans la lutte contre le cancer du sein, notamment dans les cas de cancer du sein triple négatif.
Ce type de cancer, réputé pour sa résistance aux thérapies classiques comme la chimiothérapie ou la radiothérapie, pourrait réagir favorablement à l’action anticancéreuse présumée de ce composé.
Plusieurs essais cliniques préliminaires à petite échelle et études de cas ont rapporté des résultats encourageants, notamment :
Ces données émergentes, bien que limitées, nourrissent l’intérêt croissant de la communauté médicale pour le fenbendazole en oncologie.
L’utilisation du fenbendazole chez l’humain, notamment dans le cadre du traitement du cancer du sein, reste une pratique hors autorisation de mise sur le marché (hors AMM). Toutefois, certains praticiens et patients explorent cette voie en respectant un protocole de prudence. Les recommandations non officielles suggèrent :
Le fenbendazole peut être administré sous forme de gélules ou de suspension buvable. Il est essentiel d’évaluer les interactions médicamenteuses potentielles, notamment avec :
Une surveillance médicale étroite est recommandée, incluant analyses sanguines et imagerie, pour suivre l’évolution de la tumeur et détecter les effets secondaires.
Malgré sa réputation de tolérance élevée, le fenbendazole peut provoquer certains effets indésirables, tels que :
Ces effets nécessitent une attention particulière, surtout en cas de traitement concomitant avec des médicaments anticancéreux.
L’association du fenbendazole à des traitements traditionnels du cancer du sein fait l’objet d’un intérêt croissant. Les synergies thérapeutiques potentielles incluent :
Cette approche pourrait représenter une nouvelle stratégie de traitement combiné, plus efficace et mieux tolérée.
Plusieurs études cliniques sur le fenbendazole sont en cours afin de mieux comprendre son potentiel thérapeutique. Les chercheurs examinent :
Les résultats attendus pourraient ouvrir la voie à des protocoles anticancéreux innovants, intégrant le fenbendazole comme adjuvant thérapeutique dans la prise en charge du cancer du sein.
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