Fenbendazole et cancer : témoignages de réussite inspirants

Témoignages de réussite avec le fenbendazole : une option à explorer contre le cancer

Le fenbendazole est-il un remède miracle contre le cancer ? Non. Peut-il faire partie d’une stratégie thérapeutique personnalisée et potentiellement bénéfique ? Peut-être.

Notre objectif n’est pas de promouvoir un traitement au détriment d’un autre, qu’il soit conventionnel (chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie, immunothérapie…), alternatif ou complémentaire. Ce qui nous anime, c’est la recherche de solutions sûres, efficaces et accessibles, fondées sur l’expérience, la science, et surtout l’espoir.

Une démarche holistique, pas un guide absolu

Cet article ne prétend pas offrir une solution universelle, mais propose plutôt un point de départ pour explorer des approches intégratives dans la lutte contre le cancer. Le fenbendazole, un antiparasitaire vétérinaire, fait l’objet d’un intérêt croissant de la part de patients, de praticiens ouverts et de chercheurs indépendants, notamment lorsqu’il est combiné à d’autres traitements dans une approche multimodale et personnalisée.

Avant de prendre toute décision, il est essentiel de consulter votre équipe médicale, d’explorer l’ensemble des options thérapeutiques disponibles et de vous appuyer sur des plans de traitement individualisés.


Pourquoi parler de ces histoires ici – et pas ailleurs ?

Alors que les grands médias et la communauté médicale dominante tendent à écarter d’emblée le fenbendazole, ce dernier a néanmoins été associé à plus de 180 témoignages positifs, collectés à travers des plateformes indépendantes et des groupes de soutien.

Souvent présenté comme une « fausse promesse » ou de la « désinformation médicale », le fenbendazole reste absent des essais cliniques randomisés (ECR), considérés comme le gold standard en médecine. Mais ces ECR – coûteux, longs et rigides – ne s’adaptent pas toujours aux réalités d’un cancer aux multiples visages. Comme le rappellent Hanahan et Weinberg dans leur cadre des « caractéristiques du cancer », la maladie ne suit pas une trajectoire unique. Elle engage plusieurs voies biologiques et demande donc des réponses personnalisées.

Ce que dit la médecine conventionnelle :

  • « Aucune preuve solide de l’efficacité du fenbendazole »
  • « Pas d’essai contrôlé randomisé chez l’humain »
  • « Simple anecdote ou effet placebo »
  • « Trop beau pour être vrai ? Probablement. »

Et pourtant, des patients témoignent d’améliorations surprenantes, parfois même de rémissions, en intégrant ce traitement dans leur parcours.


Des récits humains, bruts et sans filtre

Ces témoignages ne sont pas des publications scientifiques, mais ils ont le pouvoir de faire naître l’espoir. Ils viennent d’hommes et de femmes atteints de cancers avancés – notamment de formes particulièrement agressives comme le cancer du pancréas ou le cancer du sein triple négatif – qui ont choisi d’explorer de nouvelles pistes lorsque toutes les autres semblaient épuisées.

Pourquoi ces récits méritent d’être entendus :

  • Aucun effet secondaire majeur rapporté
  • Accessibilité et coût modeste
  • Témoignages souvent spontanés et non sollicités
  • Une volonté de transmettre pour aider les autres

Loin des arguments marketing ou des promesses irréalistes, ces récits traduisent l’instinct de survie et le courage humain face à une maladie dévastatrice.


Le droit d’essayer : une approche de précaution

Comme le souligne Karla Soares-Weiser, rédactrice en chef de The Cochrane Review :

« L’absence de preuves ne signifie pas l’inefficacité. Parfois, attendre des preuves solides, c’est condamner à l’inaction. Il faut parfois prendre des décisions sur la base d’indices, pour protéger le public, surtout quand les risques sont minimes. »

Ce principe de précaution éclairée est partagé par des voix influentes comme le Dr John Campbell, qui plaide pour le suivi de cohortes de patients utilisant des traitements non conventionnels :

« Les gens ont le droit d’essayer. Il est possible de collecter des données à grande échelle et d’en tirer des conclusions statistiques. Cela devrait être fait. »


Une science plus personnalisée

Selon le Dr Michael Snyder, professeur à Stanford Medicine :

« Nous sommes tous différents. Il est temps d’utiliser la puissance des données individuelles pour construire des solutions personnalisées. » [Source – The Epoch Times]

Les études de cas, souvent négligées, permettent de documenter ce qui fonctionne pour des individus réels, dans des contextes réels. C’est peut-être là que se situe l’avenir de la médecine : dans l’écoute de chaque histoire.


En conclusion : et si c’était votre tour ?

Si vous ou un proche êtes confronté à un cancer de stade avancé, ne baissez pas les bras. Le fenbendazole ne garantit rien, mais il peut représenter une piste, à explorer en conscience et en collaboration avec vos soignants.

« Quand tout semble perdu, c’est parfois l’inattendu qui ouvre une porte. » – One Day MD

Fenbendazole et cancer : une piste prometteuse dans un contexte mondial d’inégalités d’accès aux traitements

Introduction : repenser l’accès aux traitements du cancer à l’échelle mondiale

L’accès à des traitements efficaces contre le cancer reste profondément inégal à travers le monde. Dans de nombreux pays à revenu faible ou intermédiaire, les infrastructures médicales limitées et le manque de financements freinent considérablement la prise en charge optimale des patients. Résultat : les taux de survie au cancer y sont bien inférieurs à ceux observés dans les pays à revenu élevé.

Face à ces contraintes, une nouvelle voie attire l’attention des chercheurs, des praticiens et des patients : la réutilisation de médicaments existants à des fins anticancéreuses. Ce concept, appelé « drug repurposing », ouvre la voie à des options plus accessibles, économiques et déjà connues sur le plan toxicologique.

L’un des médicaments les plus cités dans ce contexte est le fenbendazole.


Pourquoi explorer le fenbendazole dans le traitement du cancer ?

Utilisé depuis les années 1960 comme vermifuge vétérinaire, le fenbendazole (ou FenBen) est connu pour son efficacité contre un large éventail de parasites intestinaux. Vendu sous des marques comme Panacur®, Safe-Guard® ou Panacur C®, il est largement distribué dans les animaleries, en pharmacie vétérinaire et en ligne.

Mais ce médicament a récemment attiré l’attention pour une toute autre raison : ses potentiels effets anticancéreux, observés pour la première fois en 2009 lors d’une étude sur le glioblastome menée par des chercheurs de l’université Johns Hopkins.

Depuis cette publication, une avalanche de rapports de cas cliniques a émergé sur Internet, dans des groupes de soutien, des forums, des articles indépendants ou encore via le célèbre témoignage de Joe Tippens – un patient américain qui affirme avoir connu une rémission complète d’un cancer du poumon de stade 4 grâce au protocole Fenbendazole.


Le contexte : des traitements traditionnels aux résultats souvent limités

Malgré les avancées médicales, les résultats restent décevants pour de nombreux cancers avancés ou métastatiques, en particulier aux stades 3 et 4 :

  • Cancer du sein métastatique (stade 4) : taux de survie à 5 ans ≈ 26 %
  • Cancer colorectal stade 4 : taux de survie à 5 ans ≈ 13 %
  • Cancer du poumon (CPNPC, stade III) : immunothérapie + chimioradiothérapie = survie à 3 ans 52 % contre 44 % pour chimio seule (JAMA 2022)

Ces chiffres renforcent l’intérêt pour des thérapies complémentaires ou de soutien, surtout lorsqu’elles sont peu coûteuses, faciles à se procurer et bien tolérées.


Qu’est-ce que le fenbendazole ?

Le fenbendazole est un anthelminthique à large spectre appartenant à la famille des benzimidazoles. Il est conçu pour éliminer les parasites gastro-intestinaux comme :

  • Giardia
  • Ascaris
  • Oxyures
  • Ankylostomes
  • Trichures
  • Ténias (genre Taenia)
  • Et divers autres parasites chez de nombreux animaux domestiques et exotiques

Il est autorisé pour une grande variété d’espèces : chiens, chats, chevaux, rongeurs, reptiles, poissons, et même certains invertébrés d’aquarium.

Le principe actif est identifié sous la formule C₁₅H₁₃N₃O₂S.


Pourquoi le grand public s’intéresse-t-il autant au FenBen contre le cancer ?

Trois facteurs principaux expliquent cet engouement :

  1. Prix abordable
    Le fenbendazole est disponible sans ordonnance dans de nombreux pays, à un coût bien inférieur à celui des traitements oncologiques classiques.
  2. Toxicité faible
    Son profil de sécurité, bien connu chez les animaux et étudié chez l’homme dans certains essais parasitaires, semble rassurant, bien que son usage anticancéreux humain reste off-label.
  3. Témoignages de rémissions
    Plusieurs centaines de personnes partagent désormais publiquement leur parcours, dans lesquels le fenbendazole a été utilisé en complément d’une approche personnalisée et multimodale. Cela inclut souvent d’autres compléments (curcumine, CBD, vitamine E), des régimes métaboliques (type cétogène), ou des traitements conventionnels.

Limites scientifiques et appel à la recherche

Malgré les témoignages, aucun essai clinique randomisé de grande envergure n’a encore été mené pour valider l’efficacité du fenbendazole contre le cancer chez l’humain. Actuellement, les preuves disponibles se basent majoritairement sur :

  • Des études in vitro (sur cellules cancéreuses)
  • Des expériences sur modèles animaux
  • Des séries de cas cliniques ou témoignages personnels

Un consensus émerge dans la communauté scientifique : des recherches rigoureuses sont nécessaires, notamment pour évaluer :

  • Le mécanisme d’action anticancéreux potentiel (perturbation des microtubules, inhibition de la glycolyse ?)
  • Les effets secondaires à long terme
  • Les interactions avec d’autres traitements

Compilation de témoignages et séries de cas

Dans le but de favoriser une recherche fondée sur la réalité clinique, ce document vise à compiler une base de données de cas d’utilisation du fenbendazole dans le cadre du cancer, classés par type de cancer et par date.

🔍 Retrouvez des études de cas spécifiques sur :

  • Cancer du sein triple négatif
  • Glioblastome (GBM)
  • Cancer du poumon
  • Mélanome
  • Cancer du foie
  • Cancer colorectal
  • Cancer des ovaires

En résumé : entre prudence, espoir et exploration

Le fenbendazole ne remplace pas les traitements standards. Mais dans un contexte mondial où l’accès au soin est inégal, il représente une piste prometteuse, encore peu explorée mais porteuse d’espoir. Son profil économique, sa disponibilité, son faible risque toxique et les nombreux témoignages qui s’y rapportent justifient l’ouverture d’études cliniques sérieuses.

En attendant, l’autonomie et le droit d’essayer en conscience restent des piliers de la démarche thérapeutique.


🔎 En lien :

Témoignages de Réussite Face au Cancer du Sein : Des Résultats Prometteurs Grâce à des Approches Inhabituelles

Lors de la réunion annuelle 2025 de l’ASCO (American Society of Clinical Oncology), un essai de phase I/II a été présenté, testant l’association de l’ivermectine et du balstilimab chez des patientes atteintes d’un cancer du sein triple négatif métastatique (CSTNm).

Contexte scientifique :

Bien que certains traitements récents aient été approuvés (comme les inhibiteurs de points de contrôle immunitaires et les conjugués anticorps-médicament), les solutions efficaces pour ce type de cancer restent rares. Des études précliniques ont montré que l’ivermectine peut activer la réponse immunitaire dans les tumeurs mammaires en rendant les tumeurs « froides » plus sensibles à l’immunothérapie. Le balstilimab, un anticorps anti-PD-1, a déjà montré son efficacité dans d’autres cancers métastatiques.

Méthodologie de l’étude :

Les patientes sélectionnées avaient déjà reçu 1 à 2 lignes de traitement, souvent incluant une immunothérapie. Elles ont reçu :

  • Balstilimab (450 mg) en perfusion intraveineuse,
  • Ivermectine orale (30 à 60 mg) pendant 9 jours par cycle de 21 jours.

Les critères principaux : tolérance, taux de réponse objective (ORR), survie sans progression (PFS), bénéfice clinique et qualité de vie.

Résultats préliminaires :

Sur 9 participantes, l’innocuité a été confirmée (effets indésirables légers dans l’ensemble). Un taux de bénéfice clinique à 4 mois de 37,5 % a été observé, ce qui est notable dans cette population très lourdement prétraitée. L’étude se poursuit au Centre Médical Cedars-Sinai sous la direction du Dr Yuan Yuan.
📄 Essai clinique : NCT05318469
📞 Contact : +1 310-423-2133 |


Cas n°18 : Amélioration spectaculaire avec l’ivermectine et le mébendazole chez une patiente de 35 ans

Le Dr William Makis a rapporté un cas marquant en avril 2025 : une jeune femme américaine atteinte d’un cancer du sein métastatique stade 4, touchant les ganglions lymphatiques et les os, a vu son état s’améliorer en seulement 2,5 mois.

Traitement personnalisé :

  • Ivermectine : 1,5 mg/kg/jour
  • Mébendazole : 1000 mg/jour

Résultats mesurables :

  • Marqueur CA15.3 réduit de 50,1 à 26,9
  • Test Signatera (ADN tumoral) passé de 5,1 à 0,07
  • PET Scan : nette réduction de l’activité métabolique dans toutes les zones métastatiques

Le Dr Makis note que certains résultats d’IRM pouvaient montrer des lésions « élargies », probablement liées à la cicatrisation osseuse. Une réponse spectaculaire et rapide que même les oncologues n’ont pas contestée.


Cas n°17 : 83 % de réduction tumorale en 2 mois chez une patiente de 61 ans

Toujours rapporté par le Dr Makis, ce cas impressionnant concerne une patiente de Floride atteinte d’un cancer du sein de stade 4 avec métastases au foie, aux poumons et aux os.

Après un premier protocole inefficace, elle commence en février 2025 :

  • Ivermectine : 120 mg/jour (2 mg/kg)
  • Mébendazole : 1000 mg/jour
  • Chimiothérapie : Carboplatine + Paclitaxel (6 cycles)

Résultats :

  • Tumeur mammaire réduite de 8,0 x 7,0 cm à 3,5 x 2,7 cm
  • Réduction du volume tumoral de 83 %

Son oncologue, impressionné, admet ne pas connaître ces molécules mais reconnaît leur efficacité.


Cas n°16 : Rémission complète en 3 mois chez une patiente de 57 ans

Une femme californienne, suivie par le Dr Makis, est passée d’un cancer du sein de stade 4 avec métastases actives à un état sans trace de maladie (NED) en moins de 3 mois.

Protocole :

  • Ivermectine : 45 mg/jour
  • Fenbendazole : 444 mg/jour
  • Traitement complémentaire : Enhertu

En février 2025, la TEP/TDM confirme l’absence totale de ganglions métastatiques. Le marqueur CEA chute de 25 à 1,4. Le médecin traitant de la patiente soutient l’usage prolongé de l’ivermectine, reconnaissant son rôle synergique avec la chimiothérapie.


Cas n°15 : Rémission sans traitement conventionnel grâce au fenbendazole seul

Une femme de 41 ans, diagnostiquée avec un cancer du sein triple négatif de stade III, a opté pour une approche alternative, sans chimiothérapie ni radiothérapie.

Chronologie :

  • Protocole : Fenbendazole pendant 14 semaines, selon un schéma 3 jours de traitement / 4 jours de repos, puis augmentation progressive de la dose.
  • En 11 semaines, disparition complète des lésions cutanées et ganglionnaires.

Elle est en rémission complète depuis plus de 16 mois, sans effets secondaires. Elle recommande de poursuivre le traitement jusqu’à disparition totale.


Cas n°14 : Disparition des métastases osseuses chez une patiente en stade IV

Raleigh Williams a témoigné en mars 2025 du retour à un état sans cancer de son épouse, qui souffrait d’un cancer du sein métastatique (œstrogène et progestérone positifs, HER2 négatif).

Après l’échec de la chimiothérapie, ils ont élaboré leur propre protocole. Le PET scan de contrôle ne révélait plus aucun signe de cancer, et ce sans traitement conventionnel actif au moment de l’examen.

« Le médecin qui a lu le PET scan n’en revenait pas. »

Cas n°13 : Cancer du sein HER2+ de stade IV avec métastases au foie – Rémission inattendue grâce à un traitement alternatif

Une femme atteinte d’un cancer du sein HER2 positif de stade 4, avec des métastases au foie, a connu une rémission partielle remarquable.

Traitement utilisé :

  • Fenbendazole
  • Ivermectine
  • Mébendazole
  • Vitamine D
  • Régime cétogène

Résultat : Les dernières analyses ont révélé une rémission partielle, ce qui a stupéfié son équipe médicale. L’oncologue lui-même a reconnu qu’il ne s’attendait pas à une telle évolution positive.

Remarque : Ce cas a été partagé anonymement sur les réseaux, avec capture d’écran de l’échange patient-médecin, en mars 2025. Aucun détail n’a été communiqué sur l’arrêt ou non d’un traitement conventionnel.


Cas n°12 : Femme de 65 ans – Cancer du sein triple négatif métastatique – Régression complète des métastases osseuses

Une patiente âgée de 65 ans, diagnostiquée avec un cancer du sein triple négatif métastatique avec atteinte osseuse généralisée, a vu sa condition s’améliorer drastiquement.

Protocole adopté :

  • Mébendazole 500 mg/jour
  • Ivermectine 12 mg/jour
  • Vitamine C liposomale
  • Jeûne intermittent 16/8

Résultat : Après 5 mois de ce traitement, les examens ont montré une disparition totale des lésions osseuses. Le CA 15-3 est passé de 89 à 18.

Témoignage de la patiente :

« Mon oncologue ne comprend pas. Il voulait changer de protocole en décembre, mais j’ai dit non. Aujourd’hui, il m’a demandé ce que je prenais. Je lui ai montré les boîtes. Il a hoché la tête. »


Cas n°11 : Cancer du sein avec métastases hépatiques – Ivermectine et jeûne prolongé

Une femme de 48 ans atteinte d’un cancer du sein métastatique au foie a adopté une stratégie intégrant ivermectine et jeûne.

Protocole mis en place :

  • Ivermectine 18 mg/jour
  • Fenbendazole (alterné une semaine sur deux)
  • Jeûne de 72h toutes les deux semaines
  • Eau riche en électrolytes + bouillons d’os

Résultats après 3 mois :

  • Diminution de la taille des métastases hépatiques
  • Énergie et moral retrouvés
  • Inflammation hépatique réduite (baisse des transaminases)

Commentaires du médecin :

« Ce n’est pas habituel. Vos marqueurs s’améliorent, et votre foie aussi. »


Cas n°10 : Femme de 50 ans – Cancer du sein récidivant – Protocole Seyfried + fenbendazole

Cette patiente, traitée à plusieurs reprises pour un cancer du sein récidivant, a intégré le protocole métabolique du Dr Thomas Seyfried.

Protocole suivi :

  • Fenbendazole 222 mg/jour (5 jours/semaine)
  • Jeûne prolongé de 5 jours chaque mois
  • Régime cétogène strict
  • Acide alpha-lipoïque + quercétine

Résultat après 6 mois : Les derniers examens montrent une réduction de plus de 75 % de la masse tumorale, et aucune nouvelle métastase.


Cas n°9 : Femme de 59 ans – Cancer du sein métastatique – Régression en 8 semaines

Une Américaine de 59 ans a partagé anonymement sur un forum médical sa lutte contre un cancer du sein HER2 négatif, avec métastases pulmonaires.

Traitement personnel :

  • Mébendazole 1000 mg
  • Ivermectine 18 mg
  • Fenbendazole 222 mg
  • Mélatonine 20 mg
  • Vitamine D + NAC

Résultat : Une régression de 60 % de la tumeur primaire et des lésions pulmonaires visibles sur scanner, en seulement 8 semaines.


Cas n°8 : Remission complète après arrêt des traitements classiques

Une patiente en stade avancé de cancer du sein avait décidé de cesser la chimiothérapie suite à des effets secondaires trop lourds.

Protocole alternatif utilisé :

  • Fenbendazole
  • Ivermectine
  • Vitamine C en perfusion
  • Ozothérapie

Après 4 mois :

  • Plus de douleurs
  • Énergie retrouvée
  • Les analyses montrent des marqueurs tumoraux revenus à la normale

Citation de la patiente :

« Mon médecin m’a dit : continuez ce que vous faites, je ne peux pas l’expliquer mais ça fonctionne. »


Cas n°7 : Femme de 60 ans – Métastases hépatiques stabilisées

Diagnostiquée avec des métastases au foie en novembre 2024, cette femme a utilisé un traitement parallèle :

Protocole :

  • Fenbendazole
  • Curcumine liposomale
  • Jeûne intermittent
  • Ivermectine 15 mg

Résultat au scanner de mars 2025 :

  • Métastases inchangées ou réduites
  • Aucune nouvelle tumeur

Commentaires du radiologue :

« La progression est stoppée, ce qui est rare sans traitement cytotoxique. »


Cas n°6 : Rémission partielle avec protocole personnalisé

Une femme de 54 ans a élaboré son propre protocole basé sur les lectures de blogs et de forums.

Traitement personnalisé :

  • Mébendazole
  • Resvératrol
  • Berbérine
  • Jeûne thérapeutique
  • Activité physique quotidienne (marche 1h)

Résultats :

  • Amélioration des marqueurs
  • Tumeur principale réduite de 3,2 cm à 1,1 cm

Cas n°5 : Patiente de 38 ans – Stabilisation du cancer avancé

Situation initiale : Cancer du sein triple négatif avec métastases pulmonaires, hépatiques et osseuses.

Protocole utilisé :

  • Fenbendazole
  • Vitamine D3 à haute dose
  • Enzymes pancréatiques
  • Ivermectine 12 mg

En 3 mois : Les métastases osseuses restent stables, les marqueurs diminuent, les douleurs se réduisent nettement.


Cas n°4 : Femme de 69 ans – Disparition d’une masse mammaire

Traitement :

  • Mébendazole 500 mg
  • Fenbendazole 222 mg
  • Curcuma liposomal
  • Acide R-lipoïque

Résultat après 10 semaines :

  • Masse mammaire non détectable au toucher
  • Disparition de l’inflammation

Cas n°3 : Cancer du sein et guérison après 12 mois de fenbendazole

Femme de 55 ans, suivie pour un cancer du sein HER2+.

Protocole :

  • Fenbendazole pendant 12 mois
  • Régime cétogène strict
  • Sans chimiothérapie

Résultat : Guérison déclarée en mars 2025 (scanner normal, plus aucun symptôme).


Cas n°2 : Cancer du sein avec rechute évitée

Une patiente a utilisé du fenbendazole après sa première chimiothérapie, pour éviter la récidive.

Résultat après 1 an :

  • Aucun signe de retour du cancer
  • Énergie retrouvée, prise de poids normale

Cas n°1 : Témoignage anonyme sur Reddit – disparition des symptômes

Une femme a raconté sur Reddit avoir traité son cancer du sein de stade 2 avec fenbendazole, sans radio ni chimio.

Résultat au bout de 5 mois :

  • Plus aucun symptôme
  • Disparition complète de la masse palpable
  • Bilan sanguin normal

Lire la suite >>>>> 40 cas de réussite : Fenbendazole, Ivermectine & Mébendazole contre le cancer du sein (anglais)

Histoires de réussite contre le cancer du cerveau : 7 témoignages marquants

Cas n°7 – 2025 : Homme de 66 ans (Ontario, Canada) atteint d’un glioblastome (non méthylé)

Traitement alternatif utilisé :

  • Ivermectine : 168 mg/jour
  • Mébendazole : 1500 mg/jour
  • Mélatonine : 500 mg/jour

Résultat :
Après 5 mois de traitement, aucune récidive détectée à l’imagerie cérébrale.

Commentaires :
Selon le Dr William Makis, l’ivermectine agit spécifiquement contre les cellules souches cancéreuses (CSC), résistantes à la chimiothérapie, responsables des récidives du glioblastome. Ce cas soutient la possibilité de prévenir durablement les rechutes grâce à une thérapie alternative combinée.

Cas n°6 – 2025 : Homme canadien de 74 ans atteint de glioblastome

Protocole suivi :

  • Ivermectine : 1,5 mg/kg/jour
  • Mébendazole : 1500 mg/jour
  • Huile de CBD : 100 mg/jour

Résultat après 4 mois :
Première IRM post-traitement conventionnel (chimio + radiothérapie) : aucune anomalie ni croissance tumorale détectée.

Témoignage :
Le patient et sa famille expriment une grande gratitude pour cette stabilisation inattendue :

« Sans votre protocole, je suis convaincu que les résultats auraient été différents. »


Cas n°5 – 2025 : Femme au Brésil atteinte d’un cancer du cerveau

Traitement utilisé :

  • Ivermectine
  • Mébendazole
  • Bleu de méthylène

Résultat :
Commencé en février 2025, ce protocole combiné a permis une disparition complète des signes cliniques du cancer.


Cas n°4 – 2025 : Femme de 36 ans (Californie) atteinte d’un astrocytome multifocal de grade 4

Traitement :

  • Ivermectine : 1 mg/kg/jour
  • Mébendazole : 1500 mg/jour

Résultat en 2 mois :
IRM révélant une stabilisation et une réduction visible des lésions cérébrales.

Réaction des médecins :
L’oncologue a exprimé une surprise totale, indiquant qu’il n’y avait que peu d’espoir avant le protocole alternatif.

Selon le Dr Makis, les réactions d’étonnement des oncologues sont fréquentes face à l’efficacité combinée ivermectine + mébendazole dans les tumeurs cérébrales.


Cas n°3 – 2025 : Femme en phase terminale atteinte d’un cancer du cerveau de stade 4

Traitement conventionnel :

  • Radiothérapie
  • Chimiothérapie

Protocole complémentaire recommandé par le Dr Makis :

  • Mébendazole
  • Ivermectine
  • Huile de CBD

Objectif :
Soutenir l’efficacité du traitement classique dans une situation d’urgence avancée.


Cas n°2 – 2025 : Homme de 41 ans (Ontario) atteint d’un oligodendrogliome de grade 3

Décision du patient :
Refus de la chimiothérapie et de la radiothérapie après résection chirurgicale.

Protocole personnalisé du Dr Makis :

  • Ivermectine : 1 à 2 mg/kg/jour
  • Fenbendazole : 888 mg/jour

Résultat après 3 mois :
IRM sans trace de tumeur résiduelle.

Témoignage fort :

« Merci. Ce n’est pas un petit résultat. C’est une guérison potentielle. »


Cas n°1 – 2025 : Homme diagnostiqué avec un glioblastome

Traitement suivi :

  • Chimiothérapie
  • Radiothérapie
  • Ivermectine + Fenbendazole (initié par la famille)

Évolution :
Amélioration rapide de l’état du patient dès l’introduction du protocole complémentaire. Sa fille témoigne de son retour progressif à la santé, malgré le diagnostic initialement défavorable.

« Je suis convaincue que c’est l’ivermectine et le fenbendazole qui ont tout changé. »


Conclusion : Vers une révolution dans la prise en charge du cancer du cerveau ?

Ces témoignages illustrent le potentiel de combinaisons thérapeutiques alternatives comme l’ivermectine, le mébendazole et le fenbendazole pour stabiliser ou inverser l’évolution de cancers cérébraux agressifs. Bien que ces récits soient pour l’instant anecdotiques, ils appellent à des études cliniques rigoureuses pour valider scientifiquement ces approches.

Cas 13 — Cancer des voies biliaires (cholangiocarcinome) — Rémission complète grâce à l’ivermectine, au fenbendazole et à la mélatonine

En décembre 2024, le Dr William Makis partage sur X/Twitter un témoignage marquant : celui d’un patient canadien de 53 ans atteint d’un cholangiocarcinome de stade 4 avec métastases hépatiques et une tumeur de 15 cm. Déclaré en phase terminale, il est aujourd’hui en rémission totale.

🗓️ Mars 2023 : diagnostic de cholangiocarcinome métastatique (lésions de 15 cm).
🗓️ Octobre 2023 : il contacte le Dr Makis après l’arrêt de son immunothérapie. L’oncologue lui annonce qu’il ne survivra probablement pas jusqu’à l’été 2024.
🗓️ Novembre 2023 : débute le protocole suivant :

  • Fenbendazole : 444 mg/j (Panacur)
  • Mélatonine : 100 mg/j
    🗓️ Août 2024 : ajout d’ivermectine à haute dose (150 mg/j soit 2,5 mg/kg) + huile de CBD/THC.
    🗓️ Décembre 2024 : annonce officielle : « Sans cancer ».

🔬 La mélatonine pourrait jouer un rôle clé : elle active la voie mitochondriale pro-apoptotique dans les cellules de cholangiocarcinome (source scientifique citée par Makis).


Cas 12 — Cancer de la vessie récurrent (Suède) — Rémission totale après 2,5 ans grâce à l’ivermectine et au fenbendazole

En avril 2025, le Dr Makis partage l’histoire d’un patient suédois de 65 ans souffrant de récidives régulières de cancer de la vessie depuis deux ans et demi.

Traitement :

  • Ivermectine + Fenbendazole (prescrit dans une clinique spécialisée de Makis)

📆 Après 3 mois, en avril 2025, lors d’une cystoscopie prévue avant chimiothérapie, aucune tumeur n’est retrouvée. L’oncologue stupéfaite annule la chimiothérapie.

« C’est la première fois en deux ans et demi qu’on ne trouve plus de cancer. Merci Dr Makis. »


Cas 11 — Homme de 75 ans, cancer de la vessie métastatique (stade 4) — Amélioration majeure avec le protocole Makis

Partagé le 24 mars 2025 : cet homme atteint d’un carcinome urothélial métastatique multiple a reçu le protocole Makis :

📋 Traitements :

  • Padcev + Keytruda (23/12/2024 au 10/03/2025)
  • Fenbendazole 222 mg/j (03/01–19/02/2025)
  • Ivermectine 30 mg/j (20/01–19/02/2025)
  • Fenbendazole 1500 mg/j + Ivermectine 1 mg/kg/j (19/02–10/03/2025)

📈 Résultat : nette amélioration visible au PET/CT.

🔗 Étude liée : EV-302 (JAMA Oncology 2025).


Cas 10 — Cancer urothélial papillaire de la vessie — Première rémission en 10 ans grâce au protocole Makis

En février 2025, le Dr Makis relaie le message d’un patient en rémission complète après avoir suivi son protocole :

📅 Depuis 2014, ce patient présentait des tumeurs urothéliales de bas grade à chaque biopsie. En 2025, la dernière est négative pour la première fois.

Traitement :

  • Ivermectine 1 mg/kg/jour
  • Fenbendazole 444 mg/jour

📚 Études appuyant ces résultats :

  • Fan et al. (2024) : L’ivermectine inhibe les cellules cancéreuses de la vessie
  • Tung et al. (2022) : Ivermectine = apoptose cellulaire
  • Chiang et al. (2021) : Fenbendazole + AMVAC → réponse complète sans récidive

Cas 9 — Récit personnel d’une femme atteinte d’un cancer de la vessie (2023)

💬 Partagé par « l’homme le plus intelligent du monde » (2023), ce témoignage raconte comment une femme ayant subi trois opérations pour des tumeurs vésicales initie un protocole personnel en novembre 2023 :

🕒 Routine :

  • Matin : 3 comprimés d’ivermectine + doxycycline
  • Soir : Fenbendazole + repas cétogène

🎯 Résultat inattendu : disparition d’une lésion cutanée ancienne et amélioration générale. Elle espère que son cancer de la vessie répondra de la même manière.


Cas 8 — Carcinome urothélial plasmacytoïde (PUC) — Guérison complète en 10 mois avec fenbendazole

🗓️ Diagnostiqué en avril 2022 avec un PUC, l’un des cancers vésicaux les plus rares et agressifs, ce patient refuse la cystectomie.

📈 Protocole suivi :

  • Fenbendazole quotidien
  • Changement d’alimentation
  • Jus de citron, vitamines, foi spirituelle

📅 Juillet 2022 : scanners montrent absence totale de tumeur
📅 Février 2023 : IRM et TEP normaux

🗣️ « Dieu et le fenbendazole m’ont guéri. Je continue le traitement et je prie pour ceux qui en ont besoin. »


Cas 7 — Carcinome urothélial de haut grade — Rémission en moins d’un an grâce au fenbendazole

📆 Fin 2021, une femme reçoit un diagnostic de carcinome urothélial de haut grade, avec des tumeurs importantes dans l’utérus.

⚕️ Traitement classique :

  • Chirurgie
  • Immunothérapie par BCG (administration intravésicale)

Mais elle ajoute le fenbendazole à son protocole.

📅 Moins d’un an plus tard : aucun signe de maladie (NED) — une rémission totale confirmée.

Cliquez ci dessous pour découvrir un fournisseur de Fenbendazole de qualité vérifiée
FenbenLab Fenbendazole

Voir l’ensemble des plus de 180 témoignages recensés à ce jour sur le site source de cette information traduite : Source

témoignages fenbendazole cancer, réussites fenbendazole, traitement alternatif cancer, protocoles fenbendazole ivermectine, cancer stade 4 sans progression, rémission cancer fenbendazole

Verified by MonsterInsights