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Le fenbendazole est-il un remède miracle contre le cancer ? Non. Peut-il faire partie d’une stratégie thérapeutique personnalisée et potentiellement bénéfique ? Peut-être.
Notre objectif n’est pas de promouvoir un traitement au détriment d’un autre, qu’il soit conventionnel (chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie, immunothérapie…), alternatif ou complémentaire. Ce qui nous anime, c’est la recherche de solutions sûres, efficaces et accessibles, fondées sur l’expérience, la science, et surtout l’espoir.
Cet article ne prétend pas offrir une solution universelle, mais propose plutôt un point de départ pour explorer des approches intégratives dans la lutte contre le cancer. Le fenbendazole, un antiparasitaire vétérinaire, fait l’objet d’un intérêt croissant de la part de patients, de praticiens ouverts et de chercheurs indépendants, notamment lorsqu’il est combiné à d’autres traitements dans une approche multimodale et personnalisée.
Avant de prendre toute décision, il est essentiel de consulter votre équipe médicale, d’explorer l’ensemble des options thérapeutiques disponibles et de vous appuyer sur des plans de traitement individualisés.
Alors que les grands médias et la communauté médicale dominante tendent à écarter d’emblée le fenbendazole, ce dernier a néanmoins été associé à plus de 180 témoignages positifs, collectés à travers des plateformes indépendantes et des groupes de soutien.
Souvent présenté comme une « fausse promesse » ou de la « désinformation médicale », le fenbendazole reste absent des essais cliniques randomisés (ECR), considérés comme le gold standard en médecine. Mais ces ECR – coûteux, longs et rigides – ne s’adaptent pas toujours aux réalités d’un cancer aux multiples visages. Comme le rappellent Hanahan et Weinberg dans leur cadre des « caractéristiques du cancer », la maladie ne suit pas une trajectoire unique. Elle engage plusieurs voies biologiques et demande donc des réponses personnalisées.
Et pourtant, des patients témoignent d’améliorations surprenantes, parfois même de rémissions, en intégrant ce traitement dans leur parcours.
Ces témoignages ne sont pas des publications scientifiques, mais ils ont le pouvoir de faire naître l’espoir. Ils viennent d’hommes et de femmes atteints de cancers avancés – notamment de formes particulièrement agressives comme le cancer du pancréas ou le cancer du sein triple négatif – qui ont choisi d’explorer de nouvelles pistes lorsque toutes les autres semblaient épuisées.
Loin des arguments marketing ou des promesses irréalistes, ces récits traduisent l’instinct de survie et le courage humain face à une maladie dévastatrice.
Comme le souligne Karla Soares-Weiser, rédactrice en chef de The Cochrane Review :
« L’absence de preuves ne signifie pas l’inefficacité. Parfois, attendre des preuves solides, c’est condamner à l’inaction. Il faut parfois prendre des décisions sur la base d’indices, pour protéger le public, surtout quand les risques sont minimes. »
Ce principe de précaution éclairée est partagé par des voix influentes comme le Dr John Campbell, qui plaide pour le suivi de cohortes de patients utilisant des traitements non conventionnels :
« Les gens ont le droit d’essayer. Il est possible de collecter des données à grande échelle et d’en tirer des conclusions statistiques. Cela devrait être fait. »
Selon le Dr Michael Snyder, professeur à Stanford Medicine :
« Nous sommes tous différents. Il est temps d’utiliser la puissance des données individuelles pour construire des solutions personnalisées. » [Source – The Epoch Times]
Les études de cas, souvent négligées, permettent de documenter ce qui fonctionne pour des individus réels, dans des contextes réels. C’est peut-être là que se situe l’avenir de la médecine : dans l’écoute de chaque histoire.
Si vous ou un proche êtes confronté à un cancer de stade avancé, ne baissez pas les bras. Le fenbendazole ne garantit rien, mais il peut représenter une piste, à explorer en conscience et en collaboration avec vos soignants.
« Quand tout semble perdu, c’est parfois l’inattendu qui ouvre une porte. » – One Day MD
L’accès à des traitements efficaces contre le cancer reste profondément inégal à travers le monde. Dans de nombreux pays à revenu faible ou intermédiaire, les infrastructures médicales limitées et le manque de financements freinent considérablement la prise en charge optimale des patients. Résultat : les taux de survie au cancer y sont bien inférieurs à ceux observés dans les pays à revenu élevé.
Face à ces contraintes, une nouvelle voie attire l’attention des chercheurs, des praticiens et des patients : la réutilisation de médicaments existants à des fins anticancéreuses. Ce concept, appelé « drug repurposing », ouvre la voie à des options plus accessibles, économiques et déjà connues sur le plan toxicologique.
L’un des médicaments les plus cités dans ce contexte est le fenbendazole.
Utilisé depuis les années 1960 comme vermifuge vétérinaire, le fenbendazole (ou FenBen) est connu pour son efficacité contre un large éventail de parasites intestinaux. Vendu sous des marques comme Panacur®, Safe-Guard® ou Panacur C®, il est largement distribué dans les animaleries, en pharmacie vétérinaire et en ligne.
Mais ce médicament a récemment attiré l’attention pour une toute autre raison : ses potentiels effets anticancéreux, observés pour la première fois en 2009 lors d’une étude sur le glioblastome menée par des chercheurs de l’université Johns Hopkins.
Depuis cette publication, une avalanche de rapports de cas cliniques a émergé sur Internet, dans des groupes de soutien, des forums, des articles indépendants ou encore via le célèbre témoignage de Joe Tippens – un patient américain qui affirme avoir connu une rémission complète d’un cancer du poumon de stade 4 grâce au protocole Fenbendazole.
Malgré les avancées médicales, les résultats restent décevants pour de nombreux cancers avancés ou métastatiques, en particulier aux stades 3 et 4 :
Ces chiffres renforcent l’intérêt pour des thérapies complémentaires ou de soutien, surtout lorsqu’elles sont peu coûteuses, faciles à se procurer et bien tolérées.
Le fenbendazole est un anthelminthique à large spectre appartenant à la famille des benzimidazoles. Il est conçu pour éliminer les parasites gastro-intestinaux comme :
Il est autorisé pour une grande variété d’espèces : chiens, chats, chevaux, rongeurs, reptiles, poissons, et même certains invertébrés d’aquarium.
Le principe actif est identifié sous la formule C₁₅H₁₃N₃O₂S.
Trois facteurs principaux expliquent cet engouement :
Malgré les témoignages, aucun essai clinique randomisé de grande envergure n’a encore été mené pour valider l’efficacité du fenbendazole contre le cancer chez l’humain. Actuellement, les preuves disponibles se basent majoritairement sur :
Un consensus émerge dans la communauté scientifique : des recherches rigoureuses sont nécessaires, notamment pour évaluer :
Dans le but de favoriser une recherche fondée sur la réalité clinique, ce document vise à compiler une base de données de cas d’utilisation du fenbendazole dans le cadre du cancer, classés par type de cancer et par date.
🔍 Retrouvez des études de cas spécifiques sur :
Le fenbendazole ne remplace pas les traitements standards. Mais dans un contexte mondial où l’accès au soin est inégal, il représente une piste prometteuse, encore peu explorée mais porteuse d’espoir. Son profil économique, sa disponibilité, son faible risque toxique et les nombreux témoignages qui s’y rapportent justifient l’ouverture d’études cliniques sérieuses.
En attendant, l’autonomie et le droit d’essayer en conscience restent des piliers de la démarche thérapeutique.
Lors de la réunion annuelle 2025 de l’ASCO (American Society of Clinical Oncology), un essai de phase I/II a été présenté, testant l’association de l’ivermectine et du balstilimab chez des patientes atteintes d’un cancer du sein triple négatif métastatique (CSTNm).
Bien que certains traitements récents aient été approuvés (comme les inhibiteurs de points de contrôle immunitaires et les conjugués anticorps-médicament), les solutions efficaces pour ce type de cancer restent rares. Des études précliniques ont montré que l’ivermectine peut activer la réponse immunitaire dans les tumeurs mammaires en rendant les tumeurs « froides » plus sensibles à l’immunothérapie. Le balstilimab, un anticorps anti-PD-1, a déjà montré son efficacité dans d’autres cancers métastatiques.
Les patientes sélectionnées avaient déjà reçu 1 à 2 lignes de traitement, souvent incluant une immunothérapie. Elles ont reçu :
Les critères principaux : tolérance, taux de réponse objective (ORR), survie sans progression (PFS), bénéfice clinique et qualité de vie.
Sur 9 participantes, l’innocuité a été confirmée (effets indésirables légers dans l’ensemble). Un taux de bénéfice clinique à 4 mois de 37,5 % a été observé, ce qui est notable dans cette population très lourdement prétraitée. L’étude se poursuit au Centre Médical Cedars-Sinai sous la direction du Dr Yuan Yuan.
📄 Essai clinique : NCT05318469
📞 Contact : +1 310-423-2133 |
Le Dr William Makis a rapporté un cas marquant en avril 2025 : une jeune femme américaine atteinte d’un cancer du sein métastatique stade 4, touchant les ganglions lymphatiques et les os, a vu son état s’améliorer en seulement 2,5 mois.
Le Dr Makis note que certains résultats d’IRM pouvaient montrer des lésions « élargies », probablement liées à la cicatrisation osseuse. Une réponse spectaculaire et rapide que même les oncologues n’ont pas contestée.
Toujours rapporté par le Dr Makis, ce cas impressionnant concerne une patiente de Floride atteinte d’un cancer du sein de stade 4 avec métastases au foie, aux poumons et aux os.
Après un premier protocole inefficace, elle commence en février 2025 :
Son oncologue, impressionné, admet ne pas connaître ces molécules mais reconnaît leur efficacité.
Une femme californienne, suivie par le Dr Makis, est passée d’un cancer du sein de stade 4 avec métastases actives à un état sans trace de maladie (NED) en moins de 3 mois.
En février 2025, la TEP/TDM confirme l’absence totale de ganglions métastatiques. Le marqueur CEA chute de 25 à 1,4. Le médecin traitant de la patiente soutient l’usage prolongé de l’ivermectine, reconnaissant son rôle synergique avec la chimiothérapie.
Une femme de 41 ans, diagnostiquée avec un cancer du sein triple négatif de stade III, a opté pour une approche alternative, sans chimiothérapie ni radiothérapie.
Elle est en rémission complète depuis plus de 16 mois, sans effets secondaires. Elle recommande de poursuivre le traitement jusqu’à disparition totale.
Raleigh Williams a témoigné en mars 2025 du retour à un état sans cancer de son épouse, qui souffrait d’un cancer du sein métastatique (œstrogène et progestérone positifs, HER2 négatif).
Après l’échec de la chimiothérapie, ils ont élaboré leur propre protocole. Le PET scan de contrôle ne révélait plus aucun signe de cancer, et ce sans traitement conventionnel actif au moment de l’examen.
« Le médecin qui a lu le PET scan n’en revenait pas. »
Une femme atteinte d’un cancer du sein HER2 positif de stade 4, avec des métastases au foie, a connu une rémission partielle remarquable.
Traitement utilisé :
Résultat : Les dernières analyses ont révélé une rémission partielle, ce qui a stupéfié son équipe médicale. L’oncologue lui-même a reconnu qu’il ne s’attendait pas à une telle évolution positive.
Remarque : Ce cas a été partagé anonymement sur les réseaux, avec capture d’écran de l’échange patient-médecin, en mars 2025. Aucun détail n’a été communiqué sur l’arrêt ou non d’un traitement conventionnel.
Une patiente âgée de 65 ans, diagnostiquée avec un cancer du sein triple négatif métastatique avec atteinte osseuse généralisée, a vu sa condition s’améliorer drastiquement.
Protocole adopté :
Résultat : Après 5 mois de ce traitement, les examens ont montré une disparition totale des lésions osseuses. Le CA 15-3 est passé de 89 à 18.
Témoignage de la patiente :
« Mon oncologue ne comprend pas. Il voulait changer de protocole en décembre, mais j’ai dit non. Aujourd’hui, il m’a demandé ce que je prenais. Je lui ai montré les boîtes. Il a hoché la tête. »
Une femme de 48 ans atteinte d’un cancer du sein métastatique au foie a adopté une stratégie intégrant ivermectine et jeûne.
Protocole mis en place :
Résultats après 3 mois :
Commentaires du médecin :
« Ce n’est pas habituel. Vos marqueurs s’améliorent, et votre foie aussi. »
Cette patiente, traitée à plusieurs reprises pour un cancer du sein récidivant, a intégré le protocole métabolique du Dr Thomas Seyfried.
Protocole suivi :
Résultat après 6 mois : Les derniers examens montrent une réduction de plus de 75 % de la masse tumorale, et aucune nouvelle métastase.
Une Américaine de 59 ans a partagé anonymement sur un forum médical sa lutte contre un cancer du sein HER2 négatif, avec métastases pulmonaires.
Traitement personnel :
Résultat : Une régression de 60 % de la tumeur primaire et des lésions pulmonaires visibles sur scanner, en seulement 8 semaines.
Une patiente en stade avancé de cancer du sein avait décidé de cesser la chimiothérapie suite à des effets secondaires trop lourds.
Protocole alternatif utilisé :
Après 4 mois :
Citation de la patiente :
« Mon médecin m’a dit : continuez ce que vous faites, je ne peux pas l’expliquer mais ça fonctionne. »
Diagnostiquée avec des métastases au foie en novembre 2024, cette femme a utilisé un traitement parallèle :
Protocole :
Résultat au scanner de mars 2025 :
Commentaires du radiologue :
« La progression est stoppée, ce qui est rare sans traitement cytotoxique. »
Une femme de 54 ans a élaboré son propre protocole basé sur les lectures de blogs et de forums.
Traitement personnalisé :
Résultats :
Situation initiale : Cancer du sein triple négatif avec métastases pulmonaires, hépatiques et osseuses.
Protocole utilisé :
En 3 mois : Les métastases osseuses restent stables, les marqueurs diminuent, les douleurs se réduisent nettement.
Traitement :
Résultat après 10 semaines :
Femme de 55 ans, suivie pour un cancer du sein HER2+.
Protocole :
Résultat : Guérison déclarée en mars 2025 (scanner normal, plus aucun symptôme).
Une patiente a utilisé du fenbendazole après sa première chimiothérapie, pour éviter la récidive.
Résultat après 1 an :
Une femme a raconté sur Reddit avoir traité son cancer du sein de stade 2 avec fenbendazole, sans radio ni chimio.
Résultat au bout de 5 mois :
Lire la suite >>>>> 40 cas de réussite : Fenbendazole, Ivermectine & Mébendazole contre le cancer du sein (anglais)
Traitement alternatif utilisé :
Résultat :
Après 5 mois de traitement, aucune récidive détectée à l’imagerie cérébrale.
Commentaires :
Selon le Dr William Makis, l’ivermectine agit spécifiquement contre les cellules souches cancéreuses (CSC), résistantes à la chimiothérapie, responsables des récidives du glioblastome. Ce cas soutient la possibilité de prévenir durablement les rechutes grâce à une thérapie alternative combinée.
Protocole suivi :
Résultat après 4 mois :
Première IRM post-traitement conventionnel (chimio + radiothérapie) : aucune anomalie ni croissance tumorale détectée.
Témoignage :
Le patient et sa famille expriment une grande gratitude pour cette stabilisation inattendue :
« Sans votre protocole, je suis convaincu que les résultats auraient été différents. »
Traitement utilisé :
Résultat :
Commencé en février 2025, ce protocole combiné a permis une disparition complète des signes cliniques du cancer.
Traitement :
Résultat en 2 mois :
IRM révélant une stabilisation et une réduction visible des lésions cérébrales.
Réaction des médecins :
L’oncologue a exprimé une surprise totale, indiquant qu’il n’y avait que peu d’espoir avant le protocole alternatif.
Selon le Dr Makis, les réactions d’étonnement des oncologues sont fréquentes face à l’efficacité combinée ivermectine + mébendazole dans les tumeurs cérébrales.
Traitement conventionnel :
Protocole complémentaire recommandé par le Dr Makis :
Objectif :
Soutenir l’efficacité du traitement classique dans une situation d’urgence avancée.
Décision du patient :
Refus de la chimiothérapie et de la radiothérapie après résection chirurgicale.
Protocole personnalisé du Dr Makis :
Résultat après 3 mois :
IRM sans trace de tumeur résiduelle.
Témoignage fort :
« Merci. Ce n’est pas un petit résultat. C’est une guérison potentielle. »
Traitement suivi :
Évolution :
Amélioration rapide de l’état du patient dès l’introduction du protocole complémentaire. Sa fille témoigne de son retour progressif à la santé, malgré le diagnostic initialement défavorable.
« Je suis convaincue que c’est l’ivermectine et le fenbendazole qui ont tout changé. »
Ces témoignages illustrent le potentiel de combinaisons thérapeutiques alternatives comme l’ivermectine, le mébendazole et le fenbendazole pour stabiliser ou inverser l’évolution de cancers cérébraux agressifs. Bien que ces récits soient pour l’instant anecdotiques, ils appellent à des études cliniques rigoureuses pour valider scientifiquement ces approches.
En décembre 2024, le Dr William Makis partage sur X/Twitter un témoignage marquant : celui d’un patient canadien de 53 ans atteint d’un cholangiocarcinome de stade 4 avec métastases hépatiques et une tumeur de 15 cm. Déclaré en phase terminale, il est aujourd’hui en rémission totale.
🗓️ Mars 2023 : diagnostic de cholangiocarcinome métastatique (lésions de 15 cm).
🗓️ Octobre 2023 : il contacte le Dr Makis après l’arrêt de son immunothérapie. L’oncologue lui annonce qu’il ne survivra probablement pas jusqu’à l’été 2024.
🗓️ Novembre 2023 : débute le protocole suivant :
🔬 La mélatonine pourrait jouer un rôle clé : elle active la voie mitochondriale pro-apoptotique dans les cellules de cholangiocarcinome (source scientifique citée par Makis).
En avril 2025, le Dr Makis partage l’histoire d’un patient suédois de 65 ans souffrant de récidives régulières de cancer de la vessie depuis deux ans et demi.
✅ Traitement :
📆 Après 3 mois, en avril 2025, lors d’une cystoscopie prévue avant chimiothérapie, aucune tumeur n’est retrouvée. L’oncologue stupéfaite annule la chimiothérapie.
« C’est la première fois en deux ans et demi qu’on ne trouve plus de cancer. Merci Dr Makis. »
Partagé le 24 mars 2025 : cet homme atteint d’un carcinome urothélial métastatique multiple a reçu le protocole Makis :
📋 Traitements :
📈 Résultat : nette amélioration visible au PET/CT.
🔗 Étude liée : EV-302 (JAMA Oncology 2025).
En février 2025, le Dr Makis relaie le message d’un patient en rémission complète après avoir suivi son protocole :
📅 Depuis 2014, ce patient présentait des tumeurs urothéliales de bas grade à chaque biopsie. En 2025, la dernière est négative pour la première fois.
Traitement :
📚 Études appuyant ces résultats :
💬 Partagé par « l’homme le plus intelligent du monde » (2023), ce témoignage raconte comment une femme ayant subi trois opérations pour des tumeurs vésicales initie un protocole personnel en novembre 2023 :
🕒 Routine :
🎯 Résultat inattendu : disparition d’une lésion cutanée ancienne et amélioration générale. Elle espère que son cancer de la vessie répondra de la même manière.
🗓️ Diagnostiqué en avril 2022 avec un PUC, l’un des cancers vésicaux les plus rares et agressifs, ce patient refuse la cystectomie.
📈 Protocole suivi :
📅 Juillet 2022 : scanners montrent absence totale de tumeur
📅 Février 2023 : IRM et TEP normaux
🗣️ « Dieu et le fenbendazole m’ont guéri. Je continue le traitement et je prie pour ceux qui en ont besoin. »
📆 Fin 2021, une femme reçoit un diagnostic de carcinome urothélial de haut grade, avec des tumeurs importantes dans l’utérus.
⚕️ Traitement classique :
Mais elle ajoute le fenbendazole à son protocole.
📅 Moins d’un an plus tard : aucun signe de maladie (NED) — une rémission totale confirmée.
Voir l’ensemble des plus de 180 témoignages recensés à ce jour sur le site source de cette information traduite : Source
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