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Le fenbendazole — souvent nommé Fenben ou commercialisé sous le nom Panacur — appartient à la famille des benzimidazoles.
Utilisé depuis 1974 comme antiparasitaire vétérinaire, il bénéficie aujourd’hui d’un intérêt croissant pour son potentiel anticancéreux.
Plusieurs observations et analyses préliminaires suggèrent en effet que ce vermifuge largement utilisé pourrait être repositionné dans l’accompagnement thérapeutique du cancer, ses mécanismes d’action rappelant ceux de certaines chimiothérapies comme le Taxol ou les alcaloïdes de la vinca.
Selon les données toxicologiques disponibles, le fenbendazole est généralement bien toléré chez l’être humain, bien que les études cliniques restent limitées.
Il se présente sous forme de poudre blanche peu soluble et affiche une absorption digestive relativement faible ; cependant, sa biodisponibilité augmente lorsqu’il est consommé après un repas riche en graisses. Lors d’une supplémentation hors repas gras, une cuillère à soupe d’huile d’olive vierge est toute indiquée pour augmenter la biodisponibilité.
Initialement conçu pour bloquer la formation de microtubules dans les parasites via la β-tubuline, le fenbendazole a montré des effets comparables sur les cellules tumorales.
Le médicament interfère avec la β-tubuline, ce qui provoque un arrêt du cycle cellulaire et mène à la mort programmée des cellules.
Le blocage de la polymérisation des microtubules chez les parasites comme dans les cellules cancéreuses humaines est aujourd’hui bien décrit dans la littérature scientifique.
Les tumeurs consomment le glucose jusqu’à 200 fois plus rapidement que les cellules saines — un phénomène connu sous le nom d’effet Warburg.
Le fenbendazole contribue à priver les cellules cancéreuses de carburant en :
La restauration de la protéine p53 participe également à cette régulation, contribuant à freiner l’approvisionnement énergétique des cellules malignes.
Même si ce point nécessite encore des études plus approfondies, plusieurs travaux indiquent que le fenbendazole pourrait stimuler p53, l’un des principaux gènes suppresseurs de tumeurs.
À titre d’exemple, les éléphants possèdent 20 copies de p53, ce qui expliquerait en partie leur faible incidence de cancer, contrairement à l’humain qui n’en possède qu’une seule.
Contrairement à de nombreux traitements anticancéreux qui perdent en efficacité à cause des pompes d’efflux P-glycoprotéines, le fenbendazole n’est pas expulsé par ces mécanismes.
Résultat : les cellules cancéreuses ne développent pas de résistance connue, et le médicament continue d’exercer son action sans perte d’efficacité — un avantage majeur par rapport au paclitaxel, à la vincristine, au docétaxel ou à la vinblastine.
Le fenbendazole pourrait également augmenter la sensibilité des tumeurs à la radiothérapie, un effet déjà observé avec les taxanes.

Ce protocole est souvent présenté comme bien toléré chez les personnes n’ayant pas de pathologie hépatique ou rénale.
Recommandations supplémentaires :
Dans l’ensemble, les benzimidazoles comme le fenbendazole et l’albendazole sont considérés comme peu toxiques. Toutefois :
Pour soutenir le foie, beaucoup recommandent :
Le schéma 3 jours ON / 4 jours OFF vise justement à préserver la fonction hépatique, bien que certains utilisent désormais un rythme 5 jours ON / 2 jours OFF.
Le fenbendazole suscite un intérêt mondial pour ses propriétés anticancéreuses multiples, sa bonne tolérance et l’absence apparente de résistance.
Bien qu’il reste nécessaire de disposer d’essais cliniques plus approfondis, les témoignages et résultats préliminaires encouragent une recherche plus active sur ce médicament longtemps cantonné à la parasitologie vétérinaire.
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