Fenbendazole & cancer œsophagien et gastrique

Fenbendazole et ivermectine contre les cancers de l’estomac et de l’œsophage : compilation de 11 cas cliniques majeurs (décembre 2025)

Les cancers de l’œsophage et de l’estomac comptent parmi les tumeurs digestives les plus agressives, avec des diagnostics souvent tardifs et des options thérapeutiques limitées. Malgré les progrès en chimiothérapie, immunothérapie ou radiothérapie, de nombreux patients voient leur pronostic réservé et se tournent vers des solutions alternatives.

cancer œsophage et estomac traité au fenbendazole

Parmi ces pistes émergentes, deux molécules attirent une attention croissante : le fenbendazole et l’ivermectine, deux antiparasitaires vétérinaires qui démontrent, dans une série de témoignages récents, un potentiel anticancéreux intrigant.

Cette compilation réunit 11 cas rapportés en 2024-2025, où ces traitements repositionnés — parfois utilisés seuls, parfois associés à des compléments ou à des soins conventionnels — ont entraîné une régression tumorale, une amélioration clinique majeure ou même des rémissions complètes.


11 Cas de rémission ou d’amélioration documentés (2024-2025)


Cas 11 – Décembre 2025

Femme de 68 ans – Cancer gastrique métastatique (stade 4) – Rémission complète en 5 mois

Originaire de Virginie, cette patiente a commencé un protocole associant ivermectine, fenbendazole, CBD et curcumine.
Résultats :

  • Endoscopie : plus de trace de maladie
  • PET scan : absence totale d’activité cancéreuse
  • Oncologue “stupéfait” par une réponse « bien supérieure à la moyenne ».

Cas 10 – Décembre 2025

Homme de 22 ans – Cancer de l’œsophage stade 4 – Rémission en 5 mois

Ce jeune Canadien a combiné ivermectine, mébendazole et huile de CBD.
Résultat : rémission complète malgré un pronostic initial défavorable.


Cas 9 – Septembre 2025

Homme de 36 ans – Adénocarcinome de l’œsophage métastasé

Dale Atkinson, diagnostiqué en phase terminale, a combiné thérapies conventionnelles et traitements métaboliques incluant des médicaments repositionnés.
Il est devenu cofondateur de Beyond the Standard, soutenant d’autres patients.


Cas 8 – Septembre 2025

Australien de 37 ans – Cancer de l’œsophage – Guérison en 2 mois

Refusant chirurgie, chimio et radiothérapie, il a suivi un protocole ivermectine + fenbendazole.
Début septembre 2025 : PET scan totalement normal.


Cas 7 – Septembre 2025

Cancer colorectal + gastrique stade 4 – Pronostic vital 12 à 19 mois → Guérison

Grâce à un protocole mêlant ivermectine, fenbendazole et bleu de méthylène, ce patient déclaré incurable en 2022 est toujours sans cancer en 2025.


Cas 6 – Juillet 2025

Homme de 74 ans – GIST de 30 cm – Réduction significative

Protocole ivermectine + mébendazole.
En 4 mois :

  • Tumeur réduite de 30 cm à 23 cm
  • Baisse du SUVmax
  • Nécrose centrale → signes de tumeur mourante.

Cas 5 – Mai 2025

Adénocarcinome de l’œsophage stade 4 – Métastases ganglionnaires et hépatiques

Jeff Bryant, diagnostiqué début 2025, observe une amélioration notable sous FOLFOX + Opdivo, qu’il associe à un protocole métabolique.


Cas 4 – Mars 2025

Homme de 55 ans – Cancer gastrique stade 4 – Baisse de 99 % des marqueurs tumoraux

Grâce à l’ivermectine et au fenbendazole, ses marqueurs CA19-9 et ACE chutent presque à zéro.


Cas 3 – Novembre 2023 → Novembre 2024 (témoignage publié 2025)

Homme de 66 ans – Cancer de l’œsophage métastatique – Rémission confirmée

Déclaré inopérable, il combine fenbendazole, compléments et quelques traitements palliatifs.
Après 14 mois :

  • Disparition complète du cancer
  • Rémission confirmée à 8 mois de suivi

Cas 2 – Mars 2025

Homme de 74 ans – GIST de 28 cm – Début de régression en 1 mois

Après arrêt du Gleevec pour effets secondaires, il entame ivermectine + fenbendazole.
Résultat :

  • Activité métabolique tumorale : –47 %
  • Ascite résolue
  • Amélioration de l’appétit et du confort digestif.

Cas 1 – Décembre 2024

Californien de 60 ans – Cancer gastrique stade 2 – Amélioration métabolique en 2 mois

Sans aucun traitement conventionnel, seulement ivermectine + fenbendazole à fortes doses.
Résultat :

  • –25 % d’activité métabolique (TEP/TDM) en 60 jours.

Cas 0 (référence historique 2024)

Homme de 93 ans – Cancer de l’œsophage – Déclaré guéri en 2,5 mois

Condamné à recevoir uniquement des soins palliatifs, il prend du fenbendazole liquide.
Contrôle : rémission complète après 10 semaines.


Conclusion

Ces 11 cas illustrent des trajectoires remarquables : rémissions rapides, tumeurs régressives et améliorations métaboliques inattendues, parfois chez des patients considérés comme incurables.

Le fenbendazole et l’ivermectine semblent agir sur des mécanismes cellulaires clés impliqués dans la prolifération tumorale, mais ces observations, aussi inspirantes soient-elles, ne remplacent pas les essais cliniques contrôlés nécessaires pour valider leur efficacité et leur sécurité.

Au-delà de leurs résultats, ces témoignages racontent aussi la résilience, la curiosité scientifique et la détermination de patients prêt à explorer de nouvelles voies, ouvrant la porte à une réflexion urgente sur l’intégration de thérapies non conventionnelles dans la recherche en oncologie.


FAQ – Fenbendazole & Ivermectine pour les cancers gastriques et œsophagiens

1. Le fenbendazole peut-il aider à traiter le cancer de l’estomac ou de l’œsophage ?

Le fenbendazole fait l’objet de nombreux témoignages anecdotiques rapportant des rémissions et des améliorations cliniques. Il n’existe cependant pas d’essai clinique officiel validant son efficacité, mais des études précliniques suggèrent des effets anticancéreux potentiels.


2. Comment l’ivermectine agit-elle sur les cellules cancéreuses ?

Des travaux en laboratoire montrent que l’ivermectine pourrait perturber le métabolisme énergétique des cellules tumorales, favoriser l’apoptose (mort cellulaire) et renforcer la réponse immunitaire. Sa pertinence clinique reste à confirmer par des essais humains.


3. Le fenbendazole est-il sûr pour l’être humain ?

Ce médicament est initialement vétérinaire. Bien que plusieurs patients rapportent une bonne tolérance, son usage chez l’homme n’est pas officiellement approuvé et doit être envisagé avec prudence et ideally sous supervision médicale.


4. Existe-t-il des cas réels de rémission grâce au fenbendazole ou à l’ivermectine ?

Oui. Entre 2024 et 2025, au moins 11 cas documentés montrent des rémissions complètes, des régressions tumorales ou des améliorations métaboliques chez des patients atteints de cancers gastriques ou œsophagiens.


5. Peut-on combiner fenbendazole/ivermectine avec la chimiothérapie ?

Certains patients ont combiné ces molécules avec l’immunothérapie ou la chimiothérapie. Les résultats varient selon les cas et aucune donnée scientifique ne confirme une synergie. Une discussion médicale reste indispensable.


6. Quels protocoles sont mentionnés dans les témoignages ?

Les doses varient selon les cas :

  • Fenbendazole : 444 mg à plus de 1000 mg/jour
  • Ivermectine : 1 à 1,5 mg/kg/jour
  • Associations fréquentes : CBD, curcumine, mébendazole, bleu de méthylène.
    Ces protocoles ne sont pas officiels et proviennent uniquement de récits individuels.

7. Le fenbendazole peut-il remplacer un traitement anticancer ?

Non. Il ne doit pas remplacer les traitements validés. Certains témoignages montrent une amélioration, mais ils ne constituent pas une preuve scientifique. Il s’agit d’un traitement alternatif exploratoire.


8. Pourquoi ces traitements attirent-ils autant l’attention ?

Parce qu’ils sont :

  • peu coûteux,
  • accessibles,
  • associés à des dizaines de témoignages de rémission,
  • soutenus par des études précliniques encourageantes.
    Cependant, l’absence d’essais cliniques reste une limite majeure.

9. L’immunothérapie est-elle plus efficace que ces traitements alternatifs ?

Les études récentes (ex. Matterhorn 2025) montrent que l’immunothérapie peut améliorer le taux de survie. Les molécules comme le fenbendazole restent expérimentales et non comparables scientifiquement à ce jour.


10. Où trouver des ressources fiables sur ces protocoles ?

Les témoignages les plus documentés proviennent de :

  • comptes de médecins sur X/Twitter (ex. Dr William Makis),
  • plateformes comme Substack,
  • groupes de survivants,
  • littérature scientifique préclinique.

Source : Dr Makis


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