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Les cancers de l’œsophage et de l’estomac comptent parmi les tumeurs digestives les plus agressives, avec des diagnostics souvent tardifs et des options thérapeutiques limitées. Malgré les progrès en chimiothérapie, immunothérapie ou radiothérapie, de nombreux patients voient leur pronostic réservé et se tournent vers des solutions alternatives.

Parmi ces pistes émergentes, deux molécules attirent une attention croissante : le fenbendazole et l’ivermectine, deux antiparasitaires vétérinaires qui démontrent, dans une série de témoignages récents, un potentiel anticancéreux intrigant.
Cette compilation réunit 11 cas rapportés en 2024-2025, où ces traitements repositionnés — parfois utilisés seuls, parfois associés à des compléments ou à des soins conventionnels — ont entraîné une régression tumorale, une amélioration clinique majeure ou même des rémissions complètes.
Originaire de Virginie, cette patiente a commencé un protocole associant ivermectine, fenbendazole, CBD et curcumine.
Résultats :
Ce jeune Canadien a combiné ivermectine, mébendazole et huile de CBD.
Résultat : rémission complète malgré un pronostic initial défavorable.
Dale Atkinson, diagnostiqué en phase terminale, a combiné thérapies conventionnelles et traitements métaboliques incluant des médicaments repositionnés.
Il est devenu cofondateur de Beyond the Standard, soutenant d’autres patients.
Refusant chirurgie, chimio et radiothérapie, il a suivi un protocole ivermectine + fenbendazole.
Début septembre 2025 : PET scan totalement normal.
Grâce à un protocole mêlant ivermectine, fenbendazole et bleu de méthylène, ce patient déclaré incurable en 2022 est toujours sans cancer en 2025.
Protocole ivermectine + mébendazole.
En 4 mois :
Jeff Bryant, diagnostiqué début 2025, observe une amélioration notable sous FOLFOX + Opdivo, qu’il associe à un protocole métabolique.
Grâce à l’ivermectine et au fenbendazole, ses marqueurs CA19-9 et ACE chutent presque à zéro.
Déclaré inopérable, il combine fenbendazole, compléments et quelques traitements palliatifs.
Après 14 mois :
Après arrêt du Gleevec pour effets secondaires, il entame ivermectine + fenbendazole.
Résultat :
Sans aucun traitement conventionnel, seulement ivermectine + fenbendazole à fortes doses.
Résultat :
Condamné à recevoir uniquement des soins palliatifs, il prend du fenbendazole liquide.
Contrôle : rémission complète après 10 semaines.
Ces 11 cas illustrent des trajectoires remarquables : rémissions rapides, tumeurs régressives et améliorations métaboliques inattendues, parfois chez des patients considérés comme incurables.
Le fenbendazole et l’ivermectine semblent agir sur des mécanismes cellulaires clés impliqués dans la prolifération tumorale, mais ces observations, aussi inspirantes soient-elles, ne remplacent pas les essais cliniques contrôlés nécessaires pour valider leur efficacité et leur sécurité.
Au-delà de leurs résultats, ces témoignages racontent aussi la résilience, la curiosité scientifique et la détermination de patients prêt à explorer de nouvelles voies, ouvrant la porte à une réflexion urgente sur l’intégration de thérapies non conventionnelles dans la recherche en oncologie.
Le fenbendazole fait l’objet de nombreux témoignages anecdotiques rapportant des rémissions et des améliorations cliniques. Il n’existe cependant pas d’essai clinique officiel validant son efficacité, mais des études précliniques suggèrent des effets anticancéreux potentiels.
Des travaux en laboratoire montrent que l’ivermectine pourrait perturber le métabolisme énergétique des cellules tumorales, favoriser l’apoptose (mort cellulaire) et renforcer la réponse immunitaire. Sa pertinence clinique reste à confirmer par des essais humains.
Ce médicament est initialement vétérinaire. Bien que plusieurs patients rapportent une bonne tolérance, son usage chez l’homme n’est pas officiellement approuvé et doit être envisagé avec prudence et ideally sous supervision médicale.
Oui. Entre 2024 et 2025, au moins 11 cas documentés montrent des rémissions complètes, des régressions tumorales ou des améliorations métaboliques chez des patients atteints de cancers gastriques ou œsophagiens.
Certains patients ont combiné ces molécules avec l’immunothérapie ou la chimiothérapie. Les résultats varient selon les cas et aucune donnée scientifique ne confirme une synergie. Une discussion médicale reste indispensable.
Les doses varient selon les cas :
Non. Il ne doit pas remplacer les traitements validés. Certains témoignages montrent une amélioration, mais ils ne constituent pas une preuve scientifique. Il s’agit d’un traitement alternatif exploratoire.
Parce qu’ils sont :
Les études récentes (ex. Matterhorn 2025) montrent que l’immunothérapie peut améliorer le taux de survie. Les molécules comme le fenbendazole restent expérimentales et non comparables scientifiquement à ce jour.
Les témoignages les plus documentés proviennent de :
Source : Dr Makis
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