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L’intérêt pour les antiparasitaires réutilisés en oncologie, tels que le fenbendazole et l’ivermectine, a considérablement augmenté notamment dans les contextes où les options thérapeutiques conventionnelles sont limitées ou peu efficaces.
Cette compilation de 52 témoignages cliniques présente des cas documentés de patients atteints de cancer de la prostate ayant utilisé ces traitements, souvent en complément des stratégies médicales classiques ou dans des contextes de traitement alternatif. OneDayMD
Au cours des dernières années, l’intérêt pour le repositionnement de médicaments antiparasitaires tels que le fenbendazole et l’ivermectine dans le traitement du cancer s’est intensifié. En particulier, le cancer de la prostate fait l’objet de nombreux récits de patients rapportant des améliorations biologiques ou cliniques après l’intégration de ces substances à leur protocole.
Ces cas concernent des patients atteints de cancer de la prostate à différents stades, ayant utilisé le fenbendazole et/ou l’ivermectine seuls ou en association avec des traitements conventionnels.
Les cas compilés incluent un large éventail de patients :
Les résultats rapportés montrent des réductions de taux d’antigène spécifique de la prostate (PSA) dans plusieurs cas, parfois spectaculaires (par ex. de 2093 à 39 en deux mois), ainsi que des régressions radiologiques documentées chez certains patients.
Le fenbendazole appartient à la famille des benzimidazoles, connus pour leur capacité à perturber les microtubules cellulaires. L’ivermectine, quant à elle, est étudiée pour ses effets potentiels sur plusieurs voies biologiques impliquées dans la prolifération cellulaire.
Ces mécanismes théoriques expliquent pourquoi certains chercheurs et patients s’intéressent à leur utilisation hors indication dans le contexte du cancer de la prostate, notamment lorsque les options standards deviennent limitées ou inefficaces.

Les cas compilés concernent des profils très variés :
Les résultats rapportés incluent principalement :
Plusieurs patients atteints de cancer de la prostate métastatique rapportent une diminution rapide du PSA après l’introduction du fenbendazole et de l’ivermectine.
Dans certains récits, le PSA passe de valeurs extrêmement élevées à des niveaux proches de la normale en quelques semaines ou mois. Ces résultats sont aussi observés lorsque les antiparasitaires sont associés à une hormonothérapie ou à une chimiothérapie.
D’autres témoignages concernent des patients ayant refusé la chimiothérapie ou la radiothérapie. Chez certains d’entre eux, une baisse progressive mais continue du PSA est décrite, accompagnée d’une amélioration de la qualité de vie.
Ces récits sont fréquemment cités par les patients recherchant des approches alternatives ou complémentaires.
Quelques témoignages font état d’une absence de progression détectable sur plusieurs mois, voire d’examens d’imagerie ne montrant plus de lésions actives.
Les dosages mentionnés varient considérablement selon les témoignages :
De nombreux patients associent ces substances à :
Le cancer de la prostate évolué peut devenir résistant aux traitements standards. Dans ce contexte, les patients se tournent fréquemment vers des solutions alternatives, surtout lorsque celles-ci sont perçues comme peu coûteuses et relativement bien tolérées.
Cette analyse de 52 témoignages de cancer de la prostate met en lumière l’intérêt croissant pour le fenbendazole et l’ivermectine en tant que traitements complémentaires ou alternatifs. Certains patients rapportent des baisses importantes du PSA, une stabilisation de la maladie ou une amélioration clinique.
Téléchargez ou lisez le PDF des 52 témoignages et protocoles utilisés par les patients eux même et recensés ici : Fenbendazole et ivermectine dans le cancer de la prostate : analyse détaillée de 52 témoignages documentés
À ce jour, aucune étude clinique randomisée ne démontre que le fenbendazole permet de traiter ou de guérir le cancer de la prostate. Les informations disponibles reposent essentiellement sur des témoignages de patients dont l’on ne peux nier les résultats qualifiés d’extraordinaires et des suggestions biologiques issues de la recherche préclinique.
L’ivermectine fait l’objet de recherches expérimentales pour ses effets potentiels sur certaines voies cellulaires. Toutefois, son efficacité clinique dans le cancer de la prostate n’est pas officiellement développée, et son usage reste sans indication de la part des médecins.
La baisse du PSA rapportée dans certains témoignages peut être liée à de nombreux facteurs : traitements conventionnels associés, modifications alimentaires, compléments, évolution naturelle de la maladie ou effets biologiques indirects. Le fenbendazole ou à l’ivermectine posent ainsi des questions même si l’on arrive progressivement de façon non officielle à en comprendre les mécanisme permettant d’arriver à de tels résultats.
Les témoignages évoquent des dosages très variables, généralement compris entre 200 mg et 2 000 mg par jour, souvent administrés par cycles. Ces informations ne constituent pas des recommandations médicales mais résulte de témoignages vécus.
Oui. Même si certains patients rapportent une bonne tolérance, le fenbendazole et l’ivermectine peuvent présenter des effets indésirables, notamment par une charge hépatique, surtout en cas d’automédication ou de dosages inadaptés.
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