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Xin Wang, Wenda Tian, Ning Wang, Xiangqun Yang, Zhenyan Liu, Lvzhou Li, Taoyu Zhao, Chuanlin Wang, Hongping Zhang, Hongying Yang, Yue Jia
Le cancer de l’ovaire fait partie des tumeurs gynécologiques les plus agressives, souvent diagnostiquées tardivement, et restant difficiles à traiter malgré les avancées thérapeutiques.
Face à ces défis, les chercheurs explorent des alternatives innovantes — notamment le repositionnement de molécules existantes, déjà utilisées en médecine vétérinaire ou humaine.
Parmi elles, le fenbendazole, un antiparasitaire de la famille des benzimidazoles, suscite un intérêt croissant.
Une récente étude publiée en 2024 a analysé en profondeur ses effets sur le cancer de l’ovaire, en combinant des tests cellulaires, des recherches génétiques avancées et un modèle animal.
Les résultats sont impressionnants et ouvrent une piste de recherche sérieuse. Voir plus de 200 témoignages de stabilisation ou rémissions complète ici!
L’étude visait à :
Cette recherche s’inscrit dans une dynamique globale : reconsidérer certains médicaments existants comme agents anticancer potentiels, à coût réduit et à profil de sécurité déjà partiellement connu.
Deux lignées cellulaires humaines ont été utilisées :
Les scientifiques ont évalué :
| Paramètre étudié | Méthode |
|---|---|
| Prolifération cellulaire | Test CCK-8 |
| Formation de colonies | Essais clonogéniques |
| Apoptose (mort cellulaire) | Cytométrie en flux |
| Expression des protéines | Western blot |
Résultat ? Dose-dépendance : plus la concentration de fenbendazole augmente, plus les cellules cancéreuses meurent.
Pour comprendre comment FBZ agit, les chercheurs ont analysé l’expression des gènes après traitement sur SKOV3.
Les voies les plus impactées concernent :
Le fenbendazole perturbe les structures permettant aux cellules de se diviser — provoquant une catastrophe mitotique, une mort cellulaire programmée.
Des souris porteuses de tumeurs ovariennes humaines ont reçu du fenbendazole par voie orale.
Réultats :
Le Fenbendazole : Un antiparasitaire capable de réduire des tumeurs en conditions réelles : un signal scientifique fort qui s’argumente de plus en plus officiellement.
| Effet observé | Signification |
|---|---|
| ↓ Prolifération cellulaire | Ralentit la croissance tumorale |
| ↑ Apoptose | Active la mort cellulaire programmée |
| Blocage G2/M | Empêche la division des cellules cancéreuses |
| Désorganisation des microtubules | Rupture du mécanisme de mitose |
| ↓ Volume tumoral chez la souris | Efficacité in vivo démontrée |

Les benzimidazoles sont connus pour :
Dans le cancer, cela pourrait se traduire par :
Le fenbendazole agirait de façon ciblée mais multifactorielle, un avantage majeur en cancérologie.
De plus, d’autres benzimidazoles (mébendazole, albendazole) ont déjà montré des effets anticancer dans plusieurs recherches.
Cette publication ajoute une donnée scientifique solide concernant le fenbendazole et le cancer de l’ovaire.
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Même si l’étude est robuste :
| Limite | Explication |
|---|---|
| Étude préclinique | Cellules + souris, pas humains |
| Doses et schémas non transposables | Pharmacocinétique encore inconnue pour cancer |
| Risques d’automédication | Toxicité possible si usage non contrôlé |
| Pas d’essais cliniques humains | Nécessité d’études médicales encadrées |
Il ne s’agit pas d’une recommandation de traitement.
Le fenbendazole n’est pas validé en médecine humaine contre le cancer à ce jour par les instances de Big Pharma on se demande bien pourquoi !!
Cette étude ouvre la voie à :
Le fenbendazole pourrait devenir un adjuvant anticancer à faible coût, si les preuves cliniques confirment ces observations. Source de l’article
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