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Le Dr William Makis, spécialiste en oncologie expérimentale, a récemment publié une série de témoignages bouleversants sur la plateforme X (anciennement Twitter) en mars 2025.
Ces récits relatent des rémissions inattendues de cancers de l’endomètre (ou utérins) de stade avancé, grâce à l’utilisation combinée de deux antiparasitaires : l’ivermectine et le fenbendazole.
Selon le Dr Makis, ces cas marquent une première mondiale, notamment parce que l’usage de ces deux molécules dans ce type de cancer n’avait, jusqu’à présent, jamais été documenté dans la littérature scientifique.
Le Dr Makis rapporte quatre cas de patientes âgées, originaires d’Allemagne, du Canada et des États-Unis, toutes atteintes de cancers de l’endomètre de stade IV. Ces femmes ont expérimenté des améliorations notables, parfois spectaculaires, suite à l’administration de fenbendazole seul ou en association avec l’ivermectine :
Le Dr Makis s’appuie notamment sur une étude publiée en 2014 par Melotti et al., qui met en lumière l’action de l’ivermectine sur la voie de signalisation WNT-TCF. Cette voie est activée dans plusieurs cancers, dont ceux de l’endomètre, du col de l’utérus, du poumon et de l’estomac.
L’étude conclut que :
Cas 5 – États-Unis, femme de 81 ans (témoignage de sa fille)
Cette patiente, diagnostiquée en septembre 2022 avec un cancer utérin métastatique (stade 4), avait des atteintes aux ganglions, à l’abdomen et aux poumons. Les traitements conventionnels (radiothérapie et chimiothérapie) étaient jugés inefficaces ou trop toxiques. Condamnée à des soins palliatifs, elle a commencé un protocole naturel inspiré du « Joe Tippens Protocol » : fenbendazole, TUDCA, serrapeptase, curcuma, mélatonine à haute dose, champignons turkey tail, graines d’abricot, eau au bicarbonate et huile essentielle d’encens.
Cinq mois plus tard, un scanner de contrôle a révélé la disparition ou la réduction massive de toutes les tumeurs (sauf une stable), et l’ascite maligne avait totalement disparu. Le médecin, surpris, s’est félicité du résultat, mais la famille a attribué cette amélioration à Dieu… et au fenbendazole.
Cas 6 – États-Unis, femme atteinte de cancer de l’endomètre (témoignage de janvier 2023)
Diagnostiquée en mai 2021 avec un cancer utérin de stade IV, cette patiente avait subi six mois de chimiothérapie intensive, puis une année de traitement d’entretien. En mars 2022, elle a entamé une cure de fenbendazole (jusqu’à 2000 mg par jour) accompagnée de divers compléments. Grâce à un travail sur son hygiène de vie et son mental, elle a obtenu une rémission complète avec « absence de maladie active » lors de son dernier bilan.
Ces témoignages ne remplacent évidemment pas des essais cliniques rigoureux, mais ils suscitent un intérêt croissant pour une médecine intégrative, associant traitements conventionnels et molécules issues d’autres domaines thérapeutiques.
L’ivermectine et le fenbendazole pourraient-ils représenter une nouvelle voie dans le traitement du cancer de l’endomètre ? Ces récits suggèrent que la recherche mérite d’être approfondie, d’autant plus que les traitements actuels offrent peu d’options aux patients en impasse thérapeutique.
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Le cancer du col de l’utérus reste une menace majeure pour la santé des femmes, notamment à cause des cellules souches cancéreuses (CCSCs) associées à la rechute et la métastase. L’étude explore le potentiel anticancéreux du fenbendazole (FBZ) — un vermifuge vétérinaire réutilisé — ciblant à la fois les cellules cancéreuses classiques (CCCs) et les CSCs MDPI.
« Cette recherche démontre que le fenbendazole, un antiparasitaire vétérinaire, possède une activité antitumorale ciblée contre le cancer du col de l’utérus, en inhibant efficacement à la fois les cellules cancéreuses classiques (CCCs) et les cellules souches cancéreuses (CCSCs). Des résultats in vitro et in vivo soulignent un potentiel thérapeutique innovant pour prévenir les récidives associées aux CSCs. »
Dans un contexte où les approches conventionnelles du cancer peinent parfois à répondre aux attentes des patients, certains choisissent d’explorer des options non traditionnelles, comme le fenbendazole. Ce vermifuge vétérinaire, connu pour son profil de sécurité et son accessibilité, suscite un intérêt croissant en raison de témoignages marquants, à l’image de celui de Joe Tippens.
Cependant, derrière ce choix, se dessine une réalité bien plus complexe que la simple recherche d’un remède : c’est un acte profondément psychologique, mêlant quête d’autonomie, gestion des émotions et confrontation à l’incertitude.
Le recours au fenbendazole n’est généralement pas une décision impulsive. Il s’inscrit dans un processus de réflexion motivé par plusieurs facteurs.
Les recherches en psychologie montrent que les individus sont plus enclins à adopter des traitements alternatifs lorsqu’ils estiment ne plus avoir de contrôle sur leur santé ou que les options classiques se montrent insuffisantes (Furnham & Forey, 1994). Le fenbendazole devient alors un moyen de reprendre la main, d’agir face à une maladie qui, souvent, donne le sentiment de passivité.

L’histoire largement diffusée de Joe Tippens – qui attribue sa rémission d’un cancer avancé à l’usage du fenbendazole combiné à d’autres suppléments – joue un rôle moteur dans cette dynamique.
Ce récit véhicule un espoir palpable et résonne particulièrement auprès de ceux qui cherchent des alternatives concrètes.
Ce phénomène rejoint la théorie de l’auto-efficacité formulée par Bandura (1997), selon laquelle les individus qui croient pouvoir influencer leur destinée sont plus enclins à entreprendre des démarches proactives, même hors des sentiers battus.
L’attrait du fenbendazole tient également à sa facilité d’accès : non soumis à prescription humaine stricte, il est perçu comme un levier d’indépendance dans un parcours médical parfois vécu comme contraint. Pour ceux qui ressentent une forme de défiance envers le système médical, ou simplement une envie de participer activement à leurs soins, cet aspect est loin d’être anodin.
S’engager dans une voie thérapeutique comme celle du fenbendazole entraîne une charge émotionnelle importante. Les premiers pas s’accompagnent souvent d’un regain d’espoir et de motivation, portés par l’idée d’avoir trouvé une alternative crédible.
Cette dynamique est renforcée par certaines données précliniques prometteuses : des études ont en effet mis en évidence la capacité du fenbendazole à perturber les microtubules cellulaires*, à inhiber la captation du glucose par les cellules tumorales, et à entraver la croissance des tumeurs chez l’animal (Dogra et al., 2018 ; Son et al., 2020).
Mais cette euphorie initiale peut être suivie par des moments de doute. L’absence de résultats immédiats ou la confrontation aux réticences extérieures (notamment médicales) peuvent engendrer une forme de dissonance cognitive – cette tension psychique décrite par Festinger (1957) qui survient lorsqu’une croyance optimiste entre en conflit avec la réalité perçue.
Pourtant, cette ambivalence émotionnelle ne signifie pas que la décision est erronée : elle reflète simplement la complexité d’un parcours en dehors des cadres établis.
*Les microtubules cellulaires jouent un rôle crucial dans le développement et la division des cellules, ce qui est particulièrement pertinent dans le contexte du cancer. Les traitements visant à perturber les microtubules, comme la taxane et la colchicine, sont utilisés en oncologie pour interférer avec la division cellulaire des cellules cancéreuses. Cette approche vise à bloquer la croissance tumorale en empêchant la formation et la fonction normale des microtubules, ce qui peut induire la mort cellulaire programmée (apoptose) chez les cellules cancéreuses.
Faire le choix d’un traitement non conventionnel nécessite non seulement de l’audace, mais aussi des outils pour préserver sa stabilité psychologique. Plusieurs approches validées par la recherche peuvent aider à traverser ce chemin avec clarté et sérénité :
Utiliser le fenbendazole peut parfois exposer à des critiques, qu’elles viennent de professionnels de santé ou de l’entourage. Ces doutes, souvent nourris par une légitime prudence scientifique, peuvent être ressentis comme un jugement. Dans ces moments, il est essentiel d’adopter une posture à la fois ferme et respectueuse.
Formuler clairement sa démarche – par exemple : « Je suis conscient(e) des limites actuelles, mais j’explore cette option en complément d’un suivi médical » – permet de désamorcer les tensions tout en affirmant sa position. Beaucoup de patients choisissent d’intégrer le fenbendazole à un protocole global, en conservant un lien avec leur équipe médicale. Cette approche hybride, à la fois informée et encadrée, tend à réduire les risques tout en maximisant les bénéfices potentiels.
À ce jour, le fenbendazole ne bénéficie pas d’une reconnaissance officielle en oncologie humaine. Pourtant, plusieurs éléments suscitent l’intérêt. Son historique d’usage vétérinaire rassure quant à sa toxicité (Dogra et al., 2018), son coût modique le rend accessible au plus grand nombre, et les premiers résultats précliniques suggèrent un potentiel qu’il serait dommage d’ignorer.
Certes, les preuves cliniques chez l’humain font encore défaut. Mais de nombreuses innovations thérapeutiques ont émergé d’expérimentations individuelles courageuses.
Ce choix – bien que non validé par les institutions médicales – répond souvent à un besoin profond d’agir, de ne pas rester passif face à une maladie menaçante. Il reflète aussi la volonté de redéfinir la place du patient, non plus simple bénéficiaire des soins, mais acteur éclairé de son parcours.
Choisir le fenbendazole, c’est bien plus que tenter un traitement alternatif. C’est affirmer son droit à explorer, à espérer, à se positionner face à la maladie avec lucidité et courage. Ce choix demande de la résilience, une bonne gestion des émotions et une approche rationnelle de l’incertitude. Avec des outils adaptés et un esprit critique, les patients peuvent transformer cette démarche en une opportunité de reprise de pouvoir sur leur santé.
S’il ne s’agit pas de promouvoir le fenbendazole comme une solution universelle, il est néanmoins important de respecter et de comprendre la démarche de ceux qui l’envisagent. Dans cette optique, les témoignages, les études de cas et les données précliniques constituent des ressources précieuses que nous vous invitons à explorer dans notre section dédiée voir menu.
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Le millet est une céréale riche en minéraux tels que le silicium, qui joue un rôle dans la structure des cheveux et des ongles.
Bien que les études spécifiques sur le millet soient limitées, le silicium est reconnu pour ses effets bénéfiques sur la santé des cheveux.
Le bambou est une des sources végétales les plus riches en silicium, un minéral impliqué dans la synthèse du collagène et de l’élastine.
Une étude a montré que la supplémentation en silicium peut améliorer la qualité de la peau et des cheveux.
Les nutricosmétiques, ou compléments alimentaires pour la beauté, sont de plus en plus populaires. Cependant, il est important de noter que la réglementation de ces produits est limitée, et que les preuves scientifiques de leur efficacité varient.
Une revue a souligné que de nombreux compléments pour la peau, les cheveux et les ongles manquent de preuves solides et peuvent présenter des risques si mal utilisés. PMC
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