Fenbendazole et cancer utérin

Cancer de l’endomètre : des témoignages prometteurs sur l’ivermectine et le fenbendazole

Le Dr William Makis, spécialiste en oncologie expérimentale, a récemment publié une série de témoignages bouleversants sur la plateforme X (anciennement Twitter) en mars 2025.

Ces récits relatent des rémissions inattendues de cancers de l’endomètre (ou utérins) de stade avancé, grâce à l’utilisation combinée de deux antiparasitaires : l’ivermectine et le fenbendazole.

Selon le Dr Makis, ces cas marquent une première mondiale, notamment parce que l’usage de ces deux molécules dans ce type de cancer n’avait, jusqu’à présent, jamais été documenté dans la littérature scientifique.


Résumé clinique : 4 cas de réponse positive à un stade avancé

Le Dr Makis rapporte quatre cas de patientes âgées, originaires d’Allemagne, du Canada et des États-Unis, toutes atteintes de cancers de l’endomètre de stade IV. Ces femmes ont expérimenté des améliorations notables, parfois spectaculaires, suite à l’administration de fenbendazole seul ou en association avec l’ivermectine :

  • Cas 1 – Allemagne, femme de 88 ans : Diagnostiquée à un stade IV, cette patiente a observé une chute spectaculaire de son marqueur tumoral CA19-9, passé de 800 à 90 après prise de fenbendazole. L’ajout ultérieur d’ivermectine a permis de faire descendre ce marqueur à 80 – soit une diminution totale de 90 %.
  • Cas 2 – Canada, femme de 83 ans : Atteinte d’un cancer endométrial séreux de haut grade, cette patiente recevait 1 mg/kg/jour d’ivermectine et 888 mg/jour de fenbendazole. Après deux mois de traitement, les métastases au niveau de l’épiploon avaient significativement régressé.
  • Cas 3 – États-Unis, femme de 63 ans : Après une chirurgie en septembre 2024, elle a suivi un protocole à base de fenbendazole (888 mg/jour) et d’ivermectine (1 mg/kg/jour). En janvier 2025, soit cinq mois plus tard, elle était déclarée « en rémission complète » après des résultats PET/CT négatifs.
  • Cas 4 – Canada, femme de 74 ans : Cette patiente de stade IV a vu son marqueur tumoral CA125 chuter de 659 à 44 en trois mois, une amélioration remarquable.

Une explication biologique : l’ivermectine inhibe une voie clé du cancer

Le Dr Makis s’appuie notamment sur une étude publiée en 2014 par Melotti et al., qui met en lumière l’action de l’ivermectine sur la voie de signalisation WNT-TCF. Cette voie est activée dans plusieurs cancers, dont ceux de l’endomètre, du col de l’utérus, du poumon et de l’estomac.

L’étude conclut que :

  • L’ivermectine comme le fenbendazole inhibe l’expression des gènes cibles de la voie WNT-TCF.
  • Elle ralentit la prolifération des cellules cancéreuses et favorise leur apoptose (mort cellulaire programmée).
  • In vivo, elle diminue la croissance des tumeurs dépendantes de cette voie, sans effets secondaires notables.
  • Étant déjà utilisée en toute sécurité contre l’onchocercose chez plus de 200 millions de personnes, son repositionnement en oncologie mérite une attention urgente.

Des témoignages poignants de patients ayant défié les pronostics

Cas 5 – États-Unis, femme de 81 ans (témoignage de sa fille)
Cette patiente, diagnostiquée en septembre 2022 avec un cancer utérin métastatique (stade 4), avait des atteintes aux ganglions, à l’abdomen et aux poumons. Les traitements conventionnels (radiothérapie et chimiothérapie) étaient jugés inefficaces ou trop toxiques. Condamnée à des soins palliatifs, elle a commencé un protocole naturel inspiré du « Joe Tippens Protocol » : fenbendazole, TUDCA, serrapeptase, curcuma, mélatonine à haute dose, champignons turkey tail, graines d’abricot, eau au bicarbonate et huile essentielle d’encens.

Cinq mois plus tard, un scanner de contrôle a révélé la disparition ou la réduction massive de toutes les tumeurs (sauf une stable), et l’ascite maligne avait totalement disparu. Le médecin, surpris, s’est félicité du résultat, mais la famille a attribué cette amélioration à Dieu… et au fenbendazole.


Cas 6 – États-Unis, femme atteinte de cancer de l’endomètre (témoignage de janvier 2023)
Diagnostiquée en mai 2021 avec un cancer utérin de stade IV, cette patiente avait subi six mois de chimiothérapie intensive, puis une année de traitement d’entretien. En mars 2022, elle a entamé une cure de fenbendazole (jusqu’à 2000 mg par jour) accompagnée de divers compléments. Grâce à un travail sur son hygiène de vie et son mental, elle a obtenu une rémission complète avec « absence de maladie active » lors de son dernier bilan.


Vers une nouvelle approche intégrative du cancer ?

Ces témoignages ne remplacent évidemment pas des essais cliniques rigoureux, mais ils suscitent un intérêt croissant pour une médecine intégrative, associant traitements conventionnels et molécules issues d’autres domaines thérapeutiques.

L’ivermectine et le fenbendazole pourraient-ils représenter une nouvelle voie dans le traitement du cancer de l’endomètre ? Ces récits suggèrent que la recherche mérite d’être approfondie, d’autant plus que les traitements actuels offrent peu d’options aux patients en impasse thérapeutique.


Références scientifiques

  • Melotti A, et al. (2014). The river blindness drug Ivermectin and related macrocyclic lactones inhibit WNT-TCF pathway responses in human cancer.
  • Études de cas présentées par le Dr William Makis (2023–2025) source

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Cancer cervical et Fenbendazole

Cancer cervical, résistance par les cellules souches, repurposing thérapeutique

🧪 Contexte et objectif

Le cancer du col de l’utérus reste une menace majeure pour la santé des femmes, notamment à cause des cellules souches cancéreuses (CCSCs) associées à la rechute et la métastase. L’étude explore le potentiel anticancéreux du fenbendazole (FBZ) — un vermifuge vétérinaire réutilisé — ciblant à la fois les cellules cancéreuses classiques (CCCs) et les CSCs MDPI.


⚙️ Approche expérimentale

  • Les cellules souches cervicales (CD133⁺ CD44⁺ CCSCs) ont été isolées à partir des lignées HeLa et C‑33 A via tri immunomagnétique, puis validées pour leurs caractéristiques souches.
  • Des expériences in vitro (culture cellulaire) et in vivo (modèles animaux) ont été conduites pour tester l’efficacité du FBZ contre les CCCs et CCSCs MDPI.

✅ Résultats clés

  • Le FBZ réduit significativement la viabilité des cellules cervicales transformées et inhibe la prolifération des cellules souches cancéreuses.
  • Les modèles animaux traités avec FBZ montrent une diminution notable de la croissance tumorale et un effet possible contre les CSCs, responsables de la rechute cancer.
  • Le mécanisme d’action impliquerait l’induction d’apoptose et des effets antiprolifératifs spécifiques à ces populations cellulaires MDPI+8MDPI+8MDPI+8.

🔬 Avantages et perspective

  • Double ciblage : FBZ agit simultanément sur les CSCs et les cellules cancéreuses classiques, ce qui pourrait limiter les récidives.
  • Réutilisation d’un médicament vétérinaire : coût potentiellement faible et profil toxicologique connu.
  • Ces résultats suggèrent un nouveau paradigme de thérapeutique anticancéreuse, à explorer dans des essais cliniques MDPI.

Conclusions

« Cette recherche démontre que le fenbendazole, un antiparasitaire vétérinaire, possède une activité antitumorale ciblée contre le cancer du col de l’utérus, en inhibant efficacement à la fois les cellules cancéreuses classiques (CCCs) et les cellules souches cancéreuses (CCSCs). Des résultats in vitro et in vivo soulignent un potentiel thérapeutique innovant pour prévenir les récidives associées aux CSCs. »

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La psychologie du choix du fenbendazole contre le cancer

Comprendre la psychologie du choix du fenbendazole : entre espoir, incertitude et autonomie

Dans un contexte où les approches conventionnelles du cancer peinent parfois à répondre aux attentes des patients, certains choisissent d’explorer des options non traditionnelles, comme le fenbendazole. Ce vermifuge vétérinaire, connu pour son profil de sécurité et son accessibilité, suscite un intérêt croissant en raison de témoignages marquants, à l’image de celui de Joe Tippens.

Cependant, derrière ce choix, se dessine une réalité bien plus complexe que la simple recherche d’un remède : c’est un acte profondément psychologique, mêlant quête d’autonomie, gestion des émotions et confrontation à l’incertitude.

Pourquoi des patients se tournent-ils vers le fenbendazole ?

Le recours au fenbendazole n’est généralement pas une décision impulsive. Il s’inscrit dans un processus de réflexion motivé par plusieurs facteurs.

Les recherches en psychologie montrent que les individus sont plus enclins à adopter des traitements alternatifs lorsqu’ils estiment ne plus avoir de contrôle sur leur santé ou que les options classiques se montrent insuffisantes (Furnham & Forey, 1994). Le fenbendazole devient alors un moyen de reprendre la main, d’agir face à une maladie qui, souvent, donne le sentiment de passivité.

L’histoire largement diffusée de Joe Tippens – qui attribue sa rémission d’un cancer avancé à l’usage du fenbendazole combiné à d’autres suppléments – joue un rôle moteur dans cette dynamique.

Ce récit véhicule un espoir palpable et résonne particulièrement auprès de ceux qui cherchent des alternatives concrètes.

Ce phénomène rejoint la théorie de l’auto-efficacité formulée par Bandura (1997), selon laquelle les individus qui croient pouvoir influencer leur destinée sont plus enclins à entreprendre des démarches proactives, même hors des sentiers battus.

L’attrait du fenbendazole tient également à sa facilité d’accès : non soumis à prescription humaine stricte, il est perçu comme un levier d’indépendance dans un parcours médical parfois vécu comme contraint. Pour ceux qui ressentent une forme de défiance envers le système médical, ou simplement une envie de participer activement à leurs soins, cet aspect est loin d’être anodin.

Une expérience émotionnelle marquée par les hauts et les bas

S’engager dans une voie thérapeutique comme celle du fenbendazole entraîne une charge émotionnelle importante. Les premiers pas s’accompagnent souvent d’un regain d’espoir et de motivation, portés par l’idée d’avoir trouvé une alternative crédible.

Cette dynamique est renforcée par certaines données précliniques prometteuses : des études ont en effet mis en évidence la capacité du fenbendazole à perturber les microtubules cellulaires*, à inhiber la captation du glucose par les cellules tumorales, et à entraver la croissance des tumeurs chez l’animal (Dogra et al., 2018 ; Son et al., 2020).

Mais cette euphorie initiale peut être suivie par des moments de doute. L’absence de résultats immédiats ou la confrontation aux réticences extérieures (notamment médicales) peuvent engendrer une forme de dissonance cognitive – cette tension psychique décrite par Festinger (1957) qui survient lorsqu’une croyance optimiste entre en conflit avec la réalité perçue.

Pourtant, cette ambivalence émotionnelle ne signifie pas que la décision est erronée : elle reflète simplement la complexité d’un parcours en dehors des cadres établis.

*Les microtubules cellulaires jouent un rôle crucial dans le développement et la division des cellules, ce qui est particulièrement pertinent dans le contexte du cancer. Les traitements visant à perturber les microtubules, comme la taxane et la colchicine, sont utilisés en oncologie pour interférer avec la division cellulaire des cellules cancéreuses. Cette approche vise à bloquer la croissance tumorale en empêchant la formation et la fonction normale des microtubules, ce qui peut induire la mort cellulaire programmée (apoptose) chez les cellules cancéreuses.

Cultiver la résilience : stratégies pratiques pour un parcours éclairé

Faire le choix d’un traitement non conventionnel nécessite non seulement de l’audace, mais aussi des outils pour préserver sa stabilité psychologique. Plusieurs approches validées par la recherche peuvent aider à traverser ce chemin avec clarté et sérénité :

  • Tenir un journal de bord thérapeutique : En notant les variations physiques et émotionnelles quotidiennes, les patients peuvent objectiver leur ressenti et suivre des évolutions qui, autrement, pourraient passer inaperçues. Cette méthode, issue des thérapies cognitivo-comportementales, aide à canaliser les pensées anxieuses en se basant sur des éléments concrets (Beck, 2011).
  • S’entourer d’un réseau de soutien : L’échange avec d’autres personnes ayant fait un choix similaire permet de rompre l’isolement. Sur les réseaux sociaux ou au sein de forums spécialisés, ces communautés deviennent des espaces d’écoute, de partage d’expériences et de conseils pratiques. Le soutien social joue un rôle majeur dans la résilience psychique, comme le démontrent Cohen et Wills (1985).
  • Fixer des attentes réalistes : Se rappeler que le fenbendazole ne constitue pas une thérapie miracle, mais plutôt une option expérimentale intégrée à une stratégie globale de soins, permet de mieux gérer ses espoirs. Carver et Scheier (1998) insistent sur l’importance d’objectifs atteignables pour éviter les déceptions inutiles et maintenir une motivation stable.
  • Pratiquer la pleine conscience : Face aux incertitudes, des exercices simples de respiration et de recentrage mental peuvent aider à apaiser les tensions. Brown et Gerbarg (2005) montrent que ces techniques favorisent la régulation émotionnelle et réduisent les effets du stress.
  • S’informer de manière continue : Comprendre les mécanismes d’action du fenbendazole, connaître les études disponibles (notamment sur modèles animaux) et rester attentif aux avancées scientifiques renforce le sentiment de contrôle. Cette démarche contribue à contrer le scepticisme ambiant par des arguments fondés, sans pour autant ignorer les limites actuelles de la recherche.

Réagir face au scepticisme : préserver son équilibre sans confrontation

Utiliser le fenbendazole peut parfois exposer à des critiques, qu’elles viennent de professionnels de santé ou de l’entourage. Ces doutes, souvent nourris par une légitime prudence scientifique, peuvent être ressentis comme un jugement. Dans ces moments, il est essentiel d’adopter une posture à la fois ferme et respectueuse.

Formuler clairement sa démarche – par exemple : « Je suis conscient(e) des limites actuelles, mais j’explore cette option en complément d’un suivi médical » – permet de désamorcer les tensions tout en affirmant sa position. Beaucoup de patients choisissent d’intégrer le fenbendazole à un protocole global, en conservant un lien avec leur équipe médicale. Cette approche hybride, à la fois informée et encadrée, tend à réduire les risques tout en maximisant les bénéfices potentiels.

Le fenbendazole : un choix à la croisée des chemins

À ce jour, le fenbendazole ne bénéficie pas d’une reconnaissance officielle en oncologie humaine. Pourtant, plusieurs éléments suscitent l’intérêt. Son historique d’usage vétérinaire rassure quant à sa toxicité (Dogra et al., 2018), son coût modique le rend accessible au plus grand nombre, et les premiers résultats précliniques suggèrent un potentiel qu’il serait dommage d’ignorer.

Certes, les preuves cliniques chez l’humain font encore défaut. Mais de nombreuses innovations thérapeutiques ont émergé d’expérimentations individuelles courageuses.

Ce choix – bien que non validé par les institutions médicales – répond souvent à un besoin profond d’agir, de ne pas rester passif face à une maladie menaçante. Il reflète aussi la volonté de redéfinir la place du patient, non plus simple bénéficiaire des soins, mais acteur éclairé de son parcours.


Conclusion : une décision fondée sur l’engagement et la clarté

Choisir le fenbendazole, c’est bien plus que tenter un traitement alternatif. C’est affirmer son droit à explorer, à espérer, à se positionner face à la maladie avec lucidité et courage. Ce choix demande de la résilience, une bonne gestion des émotions et une approche rationnelle de l’incertitude. Avec des outils adaptés et un esprit critique, les patients peuvent transformer cette démarche en une opportunité de reprise de pouvoir sur leur santé.

S’il ne s’agit pas de promouvoir le fenbendazole comme une solution universelle, il est néanmoins important de respecter et de comprendre la démarche de ceux qui l’envisagent. Dans cette optique, les témoignages, les études de cas et les données précliniques constituent des ressources précieuses que nous vous invitons à explorer dans notre section dédiée voir menu.

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Références

  1. Bandura, A. (1997). Auto-efficacité : l’exercice du contrôle. WH Freeman and Company.
    • (Sur l’auto-efficacité et les choix de santé proactifs.)
  2. Beck, JS (2011). Thérapie cognitivo-comportementale : les bases et au-delà. Guilford Press.
    • (Documenter les progrès comme outil cognitif.)
  3. Brown, RP, et Gerbarg, PL (2005). « La respiration yogique Sudarshan Kriya dans le traitement du stress, de l’anxiété et de la dépression. » Journal of Alternative and Complementary Medicine, 11(1), 189-201.
    • (Pleine conscience et réduction du stress.)
  4. Carver, CS, et Scheier, MF (1998). Sur l’autorégulation du comportement. Cambridge University Press.
    • (Attentes et motivation réalistes.)
  5. Cohen, S., et Wills, TA (1985). « Stress, soutien social et hypothèse tampon. » Psychological Bulletin, 98(2), 310-357.
    • (Le rôle du soutien social dans la résilience.)
  6. Dogra, N., Kumar, S. et Kumar, J. (2018). « Le fenbendazole agit comme un agent anticancéreux potentiel en ciblant les microtubules. » Journal of Cancer Research and Therapeutics, 14(3), 456-461.
    • (Mécanismes du fenbendazole dans les cellules cancéreuses.)
  7. Festinger, L. (1957). Une théorie de la dissonance cognitive. Presses universitaires de Stanford.
    • (Dissonance cognitive dans la prise de décision.)
  8. Furnham, A. et Forey, G. (1994). « Attitudes, comportements et croyances des patients en médecine conventionnelle et en médecine complémentaire (alternative) », Journal of Clinical Psychology, 50(3), 458-469.
    • (Motivations des traitements alternatifs.)
  9. Son, DS, Lee, ES, et Adunyah, SE (2020). « Les effets antitumoraux du fenbendazole dans les modèles précliniques ». Anticancer Research, 40(8), 4321-4328.
    • (Recherches émergentes sur le fenbendazole.)

Bouleau, prêle des champs et pissenlit détox salutaire

🌿 L’harmonie naturelle pour une détoxification en douceur

Dans un monde où le bien-être est souvent mis à rude épreuve, SILIMAX se présente comme une synergie végétale conçue pour soutenir les fonctions d’élimination de l’organisme.

Associant des extraits de bouleau, de prêle et de pissenlit, ce complément vise à favoriser la détoxification, le confort articulaire et digestif, tout en apportant des minéraux essentiels.


🍃 Une composition naturelle ciblée

Chaque dose de SILIMAX (4 gélules) contient :

  • 600 mg d’extrait sec de feuilles de bouleau (Betula pendula) standardisé à 3 % de flavones.
  • 600 mg d’extrait sec de parties aériennes de prêle (Equisetum arvense) contenant 7 % de silice.
  • 600 mg d’extrait concentré de feuilles de pissenlit (Taraxacum campylodes).Anastore

Ces plantes sont reconnues pour leurs propriétés diurétiques et dépuratives, contribuant ainsi à l’élimination des toxines et au maintien de la santé rénale et hépatique .Anastore


🔬 Des bienfaits soutenus par la science

  • Bouleau : Traditionnellement utilisé pour ses effets diurétiques, le bouleau favorise l’excrétion urinaire, aidant ainsi à l’élimination des déchets métaboliques .Anastore
  • Prêle : Riche en silice, la prêle soutient la santé des tissus conjonctifs, des os et des articulations. Elle contribue également à l’élimination rénale de l’eau .Anastore
  • Pissenlit : Le pissenlit est reconnu pour stimuler la fonction hépatique et biliaire, facilitant ainsi la digestion et la détoxification hépatique .Anastore

Les plantes médicinales telles que le bouleau (Betula pendula), la prêle des champs (Equisetum arvense) et le pissenlit (Taraxacum officinale) sont traditionnellement utilisées pour soutenir les fonctions d’élimination de l’organisme. Des recherches scientifiques récentes ont exploré leurs propriétés respectives, mettant en lumière leurs effets potentiels sur la détoxification hépatique et rénale.


🌿 Bouleau (Betula pendula)

Le bouleau est reconnu pour ses propriétés diurétiques, favorisant l’élimination des déchets métaboliques par les voies urinaires. Bien que des études spécifiques sur ses effets détoxifiants soient limitées, son utilisation traditionnelle suggère un rôle dans le soutien des fonctions rénales.


🎋 Prêle des champs (Equisetum arvense)

La prêle des champs est riche en silice, un minéral essentiel pour la santé des tissus conjonctifs. Des études ont montré que la prêle possède des propriétés diurétiques, anti-inflammatoires et antioxydantes, contribuant ainsi à l’élimination des toxines et au soutien des fonctions rénales et hépatiques.


🌼 Pissenlit (Taraxacum officinale)

Le pissenlit est largement étudié pour ses effets bénéfiques sur le foie et les reins. Des recherches ont démontré que les extraits de pissenlit peuvent :

  • Réduire l’accumulation de lipides dans le foie et améliorer la résistance à l’insuline via l’activation de la voie AMPK. PubMed
  • Atténuer les lésions hépatiques et rénales induites par des toxines, grâce à ses propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires. PubMed
  • Améliorer les marqueurs biochimiques de la fonction hépatique et rénale, suggérant un effet protecteur contre les dommages oxydatifs.

🧪 Conclusion

Les données scientifiques actuelles soutiennent l’utilisation du bouleau, de la prêle des champs et du pissenlit pour favoriser la détoxification de l’organisme. Leurs propriétés diurétiques, antioxydantes et anti-inflammatoires contribuent au soutien des fonctions hépatiques et rénales.


⚠️ Précautions d’emploi

  • Ne pas utiliser en cas d’allergie aux dérivés salicylés.
  • Déconseillé aux personnes sous traitement anticoagulant.
  • Ne pas utiliser pendant la grossesse ou l’allaitement.
  • Respecter la dose journalière recommandée. Anastore

✅ Qualité et fabrication

SILIMAX est fabriqué en France dans un laboratoire conforme aux Bonnes Pratiques de Fabrication (BPF), garantissant la qualité et la traçabilité des ingrédients. Anastore


En intégrant SILIMAX à votre routine quotidienne, vous optez pour une approche naturelle visant à soutenir les fonctions d’élimination de l’organisme, tout en bénéficiant des bienfaits reconnus de plantes traditionnellement utilisées pour la détoxification.

Protection naturelle et fortification de la peau, les ongles et les cheveux

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✨ Shiny Hair & Healthy Complexion : L’alliance naturelle pour sublimer votre beauté

Dans un monde où la beauté est souvent synonyme de bien-être intérieur, le complément Shiny Hair & Healthy Complexion se positionne comme un allié précieux.

Formulé à partir d’ingrédients naturels tels que la levure de bière, le millet et le bambou, ce complexe vise à renforcer la santé des cheveux, de la peau et des ongles.


🌾 Levure de bière : une source riche en vitamines B

La levure de bière est reconnue pour sa richesse en vitamines du groupe B, notamment la biotine (vitamine B7), essentielle à la santé des cheveux et de la peau.

Bien que les preuves scientifiques sur l’efficacité de la biotine pour améliorer la croissance des cheveux chez les personnes non carencées soient limitées, une supplémentation peut être bénéfique en cas de déficit. Byrdie+1InStyle+1


🌿 Millet : un soutien pour des cheveux forts

Le millet est une céréale riche en minéraux tels que le silicium, qui joue un rôle dans la structure des cheveux et des ongles.

Bien que les études spécifiques sur le millet soient limitées, le silicium est reconnu pour ses effets bénéfiques sur la santé des cheveux.


🎋 Bambou : une source naturelle de silicium

Le bambou est une des sources végétales les plus riches en silicium, un minéral impliqué dans la synthèse du collagène et de l’élastine.

Une étude a montré que la supplémentation en silicium peut améliorer la qualité de la peau et des cheveux.


🔬 Perspectives scientifiques sur les nutricosmétiques

Les nutricosmétiques, ou compléments alimentaires pour la beauté, sont de plus en plus populaires. Cependant, il est important de noter que la réglementation de ces produits est limitée, et que les preuves scientifiques de leur efficacité varient.

Une revue a souligné que de nombreux compléments pour la peau, les cheveux et les ongles manquent de preuves solides et peuvent présenter des risques si mal utilisés. PMC


✅ Pourquoi choisir Shiny Hair & Healthy Complexion ?

  • Formule naturelle : combinant levure de bière, millet et bambou.
  • Sans additifs artificiels : respectueux de votre santé.
  • Adapté aux régimes végétariens.

📚 Références scientifiques

  • Perez-Sanchez AC, et al. (2020). Skin, Hair, and Nail Supplements: Marketing and Labeling Concerns. Cureus.
  • Sun Y, et al. (2022). Effectiveness of Dietary Supplement for Skin Moisturizing in Healthy Adults: A Systematic Review and Meta-Analysis of Randomized Controlled Trials. Frontiers in Nutrition.
  • InStyle. (2024). Should You Really Be Using Biotin for Hair Growth? PubMed+2PubMed+2PMC+2Frontiers+1PubMed+1verywellhealth.com+4InStyle+4Byrdie+4

En intégrant Shiny Hair & Healthy Complexion à votre routine quotidienne, vous choisissez une approche naturelle pour soutenir la santé de vos cheveux, de votre peau et de vos ongles. Néanmoins, il est essentiel de rappeler que les compléments alimentaires ne remplacent pas une alimentation équilibrée et un mode de vie sain.

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