Fenbendazole et cancer utérin

Cancer de l’endomètre : des témoignages prometteurs sur l’ivermectine et le fenbendazole

Le Dr William Makis, spécialiste en oncologie expérimentale, a récemment publié une série de témoignages bouleversants sur la plateforme X (anciennement Twitter) en mars 2025.

Ces récits relatent des rémissions inattendues de cancers de l’endomètre (ou utérins) de stade avancé, grâce à l’utilisation combinée de deux antiparasitaires : l’ivermectine et le fenbendazole.

Selon le Dr Makis, ces cas marquent une première mondiale, notamment parce que l’usage de ces deux molécules dans ce type de cancer n’avait, jusqu’à présent, jamais été documenté dans la littérature scientifique.


Résumé clinique : 4 cas de réponse positive à un stade avancé

Le Dr Makis rapporte quatre cas de patientes âgées, originaires d’Allemagne, du Canada et des États-Unis, toutes atteintes de cancers de l’endomètre de stade IV. Ces femmes ont expérimenté des améliorations notables, parfois spectaculaires, suite à l’administration de fenbendazole seul ou en association avec l’ivermectine :

  • Cas 1 – Allemagne, femme de 88 ans : Diagnostiquée à un stade IV, cette patiente a observé une chute spectaculaire de son marqueur tumoral CA19-9, passé de 800 à 90 après prise de fenbendazole. L’ajout ultérieur d’ivermectine a permis de faire descendre ce marqueur à 80 – soit une diminution totale de 90 %.
  • Cas 2 – Canada, femme de 83 ans : Atteinte d’un cancer endométrial séreux de haut grade, cette patiente recevait 1 mg/kg/jour d’ivermectine et 888 mg/jour de fenbendazole. Après deux mois de traitement, les métastases au niveau de l’épiploon avaient significativement régressé.
  • Cas 3 – États-Unis, femme de 63 ans : Après une chirurgie en septembre 2024, elle a suivi un protocole à base de fenbendazole (888 mg/jour) et d’ivermectine (1 mg/kg/jour). En janvier 2025, soit cinq mois plus tard, elle était déclarée « en rémission complète » après des résultats PET/CT négatifs.
  • Cas 4 – Canada, femme de 74 ans : Cette patiente de stade IV a vu son marqueur tumoral CA125 chuter de 659 à 44 en trois mois, une amélioration remarquable.

Une explication biologique : l’ivermectine inhibe une voie clé du cancer

Le Dr Makis s’appuie notamment sur une étude publiée en 2014 par Melotti et al., qui met en lumière l’action de l’ivermectine sur la voie de signalisation WNT-TCF. Cette voie est activée dans plusieurs cancers, dont ceux de l’endomètre, du col de l’utérus, du poumon et de l’estomac.

L’étude conclut que :

  • L’ivermectine comme le fenbendazole inhibe l’expression des gènes cibles de la voie WNT-TCF.
  • Elle ralentit la prolifération des cellules cancéreuses et favorise leur apoptose (mort cellulaire programmée).
  • In vivo, elle diminue la croissance des tumeurs dépendantes de cette voie, sans effets secondaires notables.
  • Étant déjà utilisée en toute sécurité contre l’onchocercose chez plus de 200 millions de personnes, son repositionnement en oncologie mérite une attention urgente.

Des témoignages poignants de patients ayant défié les pronostics

Cas 5 – États-Unis, femme de 81 ans (témoignage de sa fille)
Cette patiente, diagnostiquée en septembre 2022 avec un cancer utérin métastatique (stade 4), avait des atteintes aux ganglions, à l’abdomen et aux poumons. Les traitements conventionnels (radiothérapie et chimiothérapie) étaient jugés inefficaces ou trop toxiques. Condamnée à des soins palliatifs, elle a commencé un protocole naturel inspiré du « Joe Tippens Protocol » : fenbendazole, TUDCA, serrapeptase, curcuma, mélatonine à haute dose, champignons turkey tail, graines d’abricot, eau au bicarbonate et huile essentielle d’encens.

Cinq mois plus tard, un scanner de contrôle a révélé la disparition ou la réduction massive de toutes les tumeurs (sauf une stable), et l’ascite maligne avait totalement disparu. Le médecin, surpris, s’est félicité du résultat, mais la famille a attribué cette amélioration à Dieu… et au fenbendazole.


Cas 6 – États-Unis, femme atteinte de cancer de l’endomètre (témoignage de janvier 2023)
Diagnostiquée en mai 2021 avec un cancer utérin de stade IV, cette patiente avait subi six mois de chimiothérapie intensive, puis une année de traitement d’entretien. En mars 2022, elle a entamé une cure de fenbendazole (jusqu’à 2000 mg par jour) accompagnée de divers compléments. Grâce à un travail sur son hygiène de vie et son mental, elle a obtenu une rémission complète avec « absence de maladie active » lors de son dernier bilan.


Vers une nouvelle approche intégrative du cancer ?

Ces témoignages ne remplacent évidemment pas des essais cliniques rigoureux, mais ils suscitent un intérêt croissant pour une médecine intégrative, associant traitements conventionnels et molécules issues d’autres domaines thérapeutiques.

L’ivermectine et le fenbendazole pourraient-ils représenter une nouvelle voie dans le traitement du cancer de l’endomètre ? Ces récits suggèrent que la recherche mérite d’être approfondie, d’autant plus que les traitements actuels offrent peu d’options aux patients en impasse thérapeutique.


Références scientifiques

  • Melotti A, et al. (2014). The river blindness drug Ivermectin and related macrocyclic lactones inhibit WNT-TCF pathway responses in human cancer.
  • Études de cas présentées par le Dr William Makis (2023–2025) source

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