Histoire du Fenbendazole

Fenbendazole recherche médicale

Le fenbendazole : histoire d’une découverte accidentelle qui ouvre des perspectives en oncologie

Le laboratoire du Dr Gregory Riggins à l’Université Johns Hopkins s’est longtemps distingué pour ses travaux sur les mutations génétiques responsables du cancer et sur le développement de nouvelles thérapies anticancéreuses.

Dans le cadre de ses recherches sur le glioblastome, l’une des formes les plus agressives de tumeur cérébrale, son équipe parvenait généralement sans difficulté à induire ce type de cancer chez des rongeurs de laboratoire.

Pourtant, un jour, un phénomène inattendu s’est produit : un groupe de souris n’a développé aucune tumeur, contrairement aux autres. Intrigués, les chercheurs ont retracé l’origine de cette résistance et ont découvert que ces animaux avaient été prétraités avec un antiparasitaire vétérinaire, le fenbendazole.

Du vermifuge au potentiel anticancéreux

Cette observation fortuite a conduit à une nouvelle piste de recherche : le fenbendazole et d’autres molécules apparentées, issues de la famille des benzimidazoles (comme le mébendazole, l’albendazole, le niclosamide ou encore l’ivermectine), pourraient avoir un rôle à jouer dans la lutte contre certains cancers.

Une situation similaire a été rapportée en 2008, lors d’une étude portant sur le traitement du lymphome humain chez des souris. Là encore, les rongeurs prétraités au fenbendazole ont montré une résistance étonnante : leurs xénogreffes tumorales n’ont pas réussi à se développer normalement.

L’analyse a confirmé que le vermifuge inhibait significativement la croissance des tumeurs, renforçant l’intérêt scientifique autour de cette molécule.

Une option thérapeutique complémentaire

Ces résultats suggèrent que le fenbendazole pourrait être intégré dans l’arsenal thérapeutique anticancer, soit en tant qu’agent unique, soit en complément d’approches conventionnelles telles que la chirurgie, la radiothérapie ou la chimiothérapie.

Certains chercheurs évoquent même son potentiel en prophylaxie, c’est-à-dire dans la prévention de certaines récidives tumorales.

Un profil de sécurité déjà documenté

Un autre atout du fenbendazole réside dans sa large marge de sécurité. Utilisé depuis des décennies en médecine vétérinaire, il est bien toléré par la majorité des animaux et présente un faible risque de toxicité.

Des études menées sur des rongeurs confirment son innocuité relative, ce qui explique pourquoi certains patients atteints de cancer se tournent vers ce médicament comme solution alternative ou complémentaire.

Popularité croissante, mais manque de grandes études

Au cours des dernières années, le fenbendazole a gagné en notoriété à travers le monde, notamment grâce aux témoignages de patients qui partagent publiquement leur expérience.

Toutefois, les données scientifiques restent limitées. En effet, le brevet du fenbendazole étant tombé dans le domaine public, il n’existe plus d’incitation financière majeure pour les laboratoires pharmaceutiques à investir dans des essais cliniques d’envergure.

Cela n’empêche pas les chercheurs indépendants et certains cliniciens de continuer à s’y intéresser. Les informations disponibles, issues de la toxicologie et des études précliniques, offrent déjà un cadre pour une utilisation raisonnée.

L’avenir du fenbendazole dans le traitement du cancer

En définitive, le fenbendazole incarne l’exemple typique d’une molécule ancienne redécouverte pour ses propriétés inattendues. Si les preuves actuelles sont prometteuses, seule la réalisation d’essais cliniques rigoureux permettra de déterminer son efficacité réelle et son intégration dans la pratique médicale quotidienne.

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Fenbendazole et cancer : synthèse des preuves précliniques et cliniques

Le fenbendazole, médicament vétérinaire traditionnellement utilisé comme vermifuge, a suscité un intérêt croissant en oncologie en raison de ses effets anticancéreux observés dans des modèles animaux et des études in vitro.

Cette molécule, ainsi que d’autres benzimidazoles (mébendazole, albendazole, flubendazole), a montré la capacité de ralentir ou d’inhiber la croissance de différentes tumeurs.

Mécanismes anticancéreux identifiés

Le fenbendazole agit comme un modulateur des microtubules, perturbant la structure cellulaire et déclenchant la mort des cellules cancéreuses. Il influence plusieurs voies cellulaires, contribuant à l’apoptose et à l’arrêt de la prolifération tumorale (Nature, 2018).

D’autres études ont mis en évidence des effets synergiques lorsqu’il est associé à certains nutriments, suggérant un potentiel antitumoral inattendu (PMC, 2009). Le fenbendazole est donc étudié comme agent anticancéreux potentiel, capable de compléter les traitements existants (International Journal of Oncology, 2013).

Études précliniques et in vitro

  • Le mébendazole induit l’arrêt mitotique et l’apoptose en dépolymérisant la tubuline dans le cancer du poumon non à petites cellules (Molecular Cancer Therapeutics, 2002).
  • L’albendazole a montré une activité antitumorale sur des lignées cellulaires de cancer colorectal et dans des modèles de xénogreffes (NCBI PubMed, 2004) ainsi que sur des marqueurs tumoraux sériques chez des patients atteints de tumeurs avancées (NCBI PubMed, 2001).
  • Le mébendazole favorise l’apoptose via l’inactivation de Bcl-2 dans les cellules de mélanome résistantes à la chimiothérapie (NCBI PubMed, 2008).
  • Les benzimidazoles ont également été étudiés pour le cancer de la prostate métastatique réfractaire aux hormones, ouvrant la voie à de nouvelles stratégies thérapeutiques (DTIC, 2011).

Essais cliniques

Quelques essais cliniques exploratoires ont été menés :

  • Détermination de la dose maximale tolérée d’albendazole chez des patients atteints de cancer avancé (Springer, 2009).
  • Programmes de repositionnement de médicaments (ReDO) explorant le mébendazole comme agent anticancéreux dans différents cancers (PMC, 2014).
  • Exploration de l’utilisation du flubendazole comme médicament potentiel en thérapie anticancéreuse (Semantic Scholar, 2017).

Données de recherche et cas intéressants

Certaines publications rapportent des observations uniques, comme un cas de leucémie myélogène chronique chez un grand-duc d’Europe (Bubo virginianus), soulignant l’intérêt des benzimidazoles au-delà des modèles humains ou murins (NCBI PubMed, 2009).


Pour les passionnés d’information scientifique

Le fenbendazole et les autres benzimidazoles représentent un exemple fascinant de médicaments anciens réutilisés pour des indications innovantes. Les preuves actuelles proviennent essentiellement de données précliniques et in vitro, avec un nombre limité d’essais cliniques.

Les témoignages inspirants des dernières années devraient pousser les labos à plus de recherche. Les chercheurs et amateurs d’information peuvent consulter directement les articles scientifiques cités pour explorer les mécanismes moléculaires et les résultats expérimentaux.

FAQ – Fenbendazole et traitement du cancer

1. Qu’est-ce que le fenbendazole ?
Le fenbendazole est un médicament vétérinaire appartenant à la famille des benzimidazoles, traditionnellement utilisé pour traiter les parasites intestinaux chez les animaux. Des études précliniques ont montré qu’il pourrait avoir des propriétés anticancéreuses.

2. Le fenbendazole peut-il traiter le cancer chez l’humain ?
À ce jour, les preuves chez l’humain sont limitées. Les recherches sur les animaux suggèrent une inhibition de la croissance de certaines tumeurs, mais aucun essai clinique à grande échelle n’a validé son efficacité dans le traitement du cancer chez l’homme.

3. Quels types de cancer ont été étudiés avec le fenbendazole ?
Les études précliniques ont principalement porté sur le glioblastome, le lymphome et certaines tumeurs solides. D’autres molécules apparentées, comme le mébendazole et l’albendazole, ont montré des effets similaires dans différents modèles expérimentaux. voir article des témoignages inspirants

4. Le fenbendazole est-il sûr pour les humains ?
Les données toxicologiques disponibles indiquent que le fenbendazole présente une marge de sécurité élevée et est généralement bien toléré. Cependant, son utilisation humaine n’a pas été approuvée par les autorités de santé, et tout usage doit se faire avec prudence et suivi médical.

5. Comment le fenbendazole agit-il sur les cellules cancéreuses ?
Le fenbendazole semble inhiber la croissance tumorale en bloquant la division cellulaire, perturbant le cytosquelette et le métabolisme des cellules cancéreuses.

6. Peut-on combiner le fenbendazole avec d’autres traitements contre le cancer ?
Les chercheurs suggèrent que le fenbendazole pourrait compléter la chirurgie, la chimiothérapie ou la radiothérapie.

7. Pourquoi n’y a-t-il pas plus d’études cliniques sur le fenbendazole ?
Le médicament est tombé dans le domaine public, ce qui limite les incitations financières des laboratoires pharmaceutiques. Par conséquent, les essais cliniques restent rares, malgré l’intérêt croissant du public et des chercheurs.

8. Où trouver des informations fiables sur le fenbendazole et le cancer ?
Les informations scientifiques peuvent être consultées via des sources crédibles comme PubMed, Johns Hopkins Medicine ou des publications sur les études précliniques en oncologie. Il est important de ne pas se fier uniquement aux témoignages anecdotiques.

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Fenbendazole oral pour le traitement du cancer chez l’homme

apoptose-fenbendazole-anticancer

Fenbendazole oral : un antiparasitaire vétérinaire réinventé comme traitement anticancéreux

Introduction

Le fenbendazole est un médicament antiparasitaire de la famille des benzimidazoles, largement utilisé chez les chiens, bovins et autres animaux pour éliminer les parasites intestinaux. Contrairement à ses dérivés comme le mébendazole ou l’albendazole, approuvés pour un usage humain, le fenbendazole n’a pas encore reçu d’autorisation officielle de la FDA ni de l’EMA.

Pourtant, ses propriétés anticancéreuses émergent dans la recherche scientifique et soulèvent l’espoir d’un repositionnement thérapeutique. Son faible coût, sa sécurité démontrée chez l’animal et ses effets multitarget en font un candidat prometteur.


1. Contexte : de vermifuge à traitement du cancer

1.1. Mode d’action antiparasitaire

Chez l’animal, le fenbendazole agit en se liant à la β-tubuline, empêchant la polymérisation des microtubules. Cela bloque l’absorption du glucose par les parasites, ce qui les affame et entraîne leur élimination. Il en va de même pour les cellules cancéreuses d’où un engouement pour ce remède détourné de son usage premier.

1.2. L’affaire Joe Tippens

Joe Tippens

En 2016, l’Américain Joe Tippens, atteint d’un cancer du poumon à petites cellules, s’est auto-administré du fenbendazole (222 mg/jour), associé à de la vitamine E, de l’huile de CBD et de la curcumine.

Après trois mois, ses examens n’ont révélé aucune cellule cancéreuse. Bien que ce témoignage reste anecdotique, il a déclenché un engouement mondial pour le fenbendazole comme traitement potentiel du cancer.


2. Mécanismes anticancéreux du fenbendazole

2.1. Inhibition de la glycolyse

Le cancer exploite une glycolyse aérobie exacerbée (effet Warburg) pour croître rapidement. Le fenbendazole :

  • bloque le transporteur GLUT1, réduisant l’entrée du glucose,
  • inhibe l’hexokinase II (HKII), enzyme clé de la glycolyse,
  • diminue la production de lactate, limitant l’acidification du microenvironnement tumoral et la résistance aux chimiothérapies.

2.2. Activation de p53 et apoptose

Le fenbendazole active la voie p53-p21, déclenchant l’apoptose, l’autophagie et la ferroptose dans les cellules cancéreuses. Dans certains cancers résistants au 5-FU, il induit l’apoptose indépendamment de p53, ce qui le rend efficace contre des formes tumorales réfractaires.

2.3. Déstabilisation des microtubules

Comme la vincristine ou le paclitaxel, le fenbendazole agit sur les microtubules. Mais au lieu de les stabiliser, il les déstabilise, provoquant un arrêt du cycle cellulaire en phase G2/M et la mort des cellules tumorales.

2.4. Stress oxydatif

Le fenbendazole génère un stress oxydatif, active la voie MEK3/6-p38 MAPK et inhibe la prolifération tumorale, tout en épargnant les cellules normales.

fenbendazole apoptose cellulaire

3. Pharmacocinétique et limites

3.1. Métabolisme

Après administration orale, le fenbendazole est rapidement transformé en :

  • oxfendazole (sulfoxyde), son métabolite actif,
  • hydroxyfenbendazole et sulfone, éliminés surtout dans les fèces.

Chez le rat, la concentration plasmatique maximale reste très faible (0,32 μg/ml), confirmant sa faible biodisponibilité.

3.2. L’apport de l’oxfendazole

L’oxfendazole a déjà été testé dans un essai clinique de phase I sur 70 volontaires sains, avec une bonne tolérance (Méndez et al., 2022). Ces données offrent un aperçu de la sécurité potentielle du fenbendazole chez l’homme.


4. Amélioration de la solubilité et biodisponibilité

Le défi majeur du fenbendazole est sa faible solubilité dans l’eau (0,3 μg/ml). Plusieurs solutions ont été étudiées :

  • Formulations à base de DMSO ou DNTC : prolongent la présence du médicament en inhibant les enzymes métabolisantes (CYP450).
  • Complexes avec la méthyl-β-cyclodextrine : augmentent la solubilité à 20 mg/ml, soit 60 000 fois plus que la molécule pure.
  • Association avec l’acide salicylique : accélère la libération du médicament (100 % en 1h).

Ces approches pourraient transformer le fenbendazole en traitement oral systémique viable.


5. Sécurité, toxicité et cas cliniques humains

5.1. Données animales

  • DL50 > 10 g/kg chez le rat (très sécuritaire).
  • Bien toléré chez les bovins, même à six fois la dose recommandée.
  • Pas d’effet tératogène ni cancérigène observé.

5.2. Données humaines

Quelques cas d’auto-administration rapportés :

  • Quatre patients ont vu une réduction tumorale (54–55).
  • Deux patients ont présenté une hépatotoxicité réversible (56–57).

Le schéma le plus utilisé : 1 g/jour, 3 jours consécutifs, puis 4 jours de pause. Toutefois, ces données reposent uniquement sur des cas isolés et non sur des essais cliniques contrôlés.


6. Perspectives cliniques et associations thérapeutiques

Le fenbendazole pourrait être :

  • combiné avec des inhibiteurs de la glycolyse,
  • associé à des nutraceutiques (curcumine, vitamine E, CBD),
  • utilisé avec des agents hépatoprotecteurs pour réduire le risque d’hépatotoxicité.

Ces stratégies pourraient améliorer son efficacité tout en limitant ses effets secondaires.


Conclusion : un candidat à ne pas négliger

Le fenbendazole incarne un exemple frappant de repositionnement médicamenteux : d’un vermifuge vétérinaire à un candidat anticancéreux prometteur. Ses mécanismes d’action multiples (glycolyse, microtubules, apoptose, stress oxydatif) ciblent efficacement les cellules tumorales, y compris celles résistantes aux traitements conventionnels.

Ses limites actuelles – faible biodisponibilité et absence d’essais cliniques humains de grande ampleur – doivent être levées par des études rigoureuses. Si ces recherches confirment son efficacité, le fenbendazole pourrait devenir une thérapie orale, peu coûteuse, accessible et complémentaire en oncologie.

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Fenbendazole : un antiparasitaire remanié en potentiel anticancéreux

Fenbendazole Molécule

Fenbendazole & Cancer – Trois cas prometteurs (Makis et al., 2025)

William Makis Ilyes Baghli Pierrick Martinez 

Fenbendazole (FBZ), un antiparasitaire vétérinaire bon marché, suscite un regain d’intérêt comme traitement anticancéreux potentiel secondaire.

La récente série de cas cliniques publiée par Makis et collaborateurs (2025) met en lumière trois patients atteints de cancers avancés ayant obtenu des réponses cliniques remarquables grâce à l’ajout de FBZ à leur protocole. Ces observations, bien qu’anecdotiques, soulèvent des pistes d’investigation pour des essais cliniques rigoureux.

1. Contexte scientifique

· Origine et usage de FBZ
Fenbendazole est un benzimidazole antiparasitaire utilisé depuis longtemps en médecine vétérinaire. Son brevet est tombé dans le domaine public dans les années 1990, ce qui le rend disponible sous forme générique et économique PMC.

· Preuves précliniques
Des travaux en laboratoire (in vitro) et chez l’animal (in vivo) ont démontré plusieurs mécanismes anticancéreux attribués aux benzimidazoles comme FBZ :

  • Inhibition de la polymérisation des microtubules (similaire aux alcaloïdes de la pervenche), entraînant une arrestation du cycle cellulaire en phase G2/M et déclenchant l’apoptose.
  • Blocage de l’angiogenèse et perturbation du métabolisme tumoral (glucose, éventuellement glutamine).

2. Résumé des trois cas cliniques

1. Cancer du sein métastatique (83 ans)

  • Diagnostic : Carcinome mammaire récurrent métastatique à l’âge de 83 ans, atteignant poumon, foie, os (octobre 2021) PMC.
  • Traitements : FBZ (222 mg/j), fulvestrant (anti-œstrogène), radiothérapie pour les métastases vertébrales, vitamine D, multivitamines.
  • Résultats : Rémission complète confirmée par PET en avril 2022, normalisation des marqueurs tumoraux (CA 27.29), absence de récidive jusqu’à presque 3 ans plus tard PMC.

2. Cancer de la prostate métastatique (75 ans)

  • Diagnostic : Rechute métastatique, atteintes osseuses et ganglionnaires (décembre 2021) PMC.
  • Traitements : Déprivations androgéniques (Orgovix, Erleada), Xgeva, compléments divers (vitamine D + K2, mélatonine, berbérine, curcumine, artémisinine…), FBZ (222–444 mg/j).
  • Résultats : Régression des lésions osseuses et ganglionnaires dès un an, PSA indétectable après deux ans, PSMA-PET en avril 2024 sans activité anormale, rémission quasi totale pendant au moins 26 mois PMC.

3. Mélanome avec mutation BRAF-V600 (63 ans)

  • Diagnostic : Mélanome de stade IIIC traité par dabrafénib + tramétinib (2020–2021), rémission initiale, puis récidive métastatique fin 2023 (péri-péricité, intestin, vertèbre L5), mutation BRAF détectée PMC.
  • Traitements : Exérèse, FBZ (222–444 mg/j), immunothérapie (deux doses de nivolumab), compléments (vitamine D, acide ascorbique, CoQ10, glutathion…) PMC.
  • Résultats : Marqueur tumoral (Signatera) chutant de 123,37 à 0 en deux mois, imagerie sans signe de maladie en février 2024, rémission complète maintenue plus de 11 mois PMC.

3. Implications et limites à considérer

  • Potentiel clinique : Ces cas, bien que anecdotiques, montrent des rémissions soutenues (jusqu’à presque 3 ans) associées à l’ajout de FBZ à des traitements standards ou naturels PMC.
  • Mécanismes d’action plausibles : Les effets anticancéreux de FBZ—microtubules, apoptose, métabolisme, cellules souches—sont soutenus par des données précliniques PMC.
  • Limitations majeures :
    • Échantillon très restreint (3 patients), sans groupe témoin.
    • Auto-administration de FBZ par les patients, hors protocole médical ou réglementaire.
    • Combinaisons multiples de traitements — imagerie, radiothérapie, hormonothérapie, immunothérapie, compléments — compliquent l’interprétation de l’effet spécifique du FBZ.
    • Risques de dosage, qualité, surveillance insuffisante — sans essais cliniques, pas de preuve de causalité, seul un signal hypothétique reste envisageable PMC.

Conclusion

Bien que limitée à trois observations isolées, cette série de cas suggère que le fenbendazole, un antiparasitaire vétérinaire accessible, pourrait avoir un potentiel anticancéreux intéressant lorsque combiné à d’autres thérapies chez des patients en situation avancée.

Néanmoins, le recours au FBZ en auto-médication comporte des risques et ne peut remplacer des traitements validés. Des essais cliniques bien conçus sont essentiels pour évaluer son efficacité, sa sécurité, son dosage, et déterminer s’il peut intégrer le paysage thérapeutique anticancéreux.


Références principales

  • Analyse complète de la série de cas : Makis W. et al., Case Reports in Oncology, Volume 18, Issue 1, pages 856–863, 26 mai 2025 PMC PubMed.

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Fenbendazole et guérison rapide de cancers métastatiques

Guérison rapide de cancers métastatiques : 16 cas documentés par le Dr William Makis

Une série de patients atteints de cancers avancés ont retrouvé un état sans cancer en quelques mois seulement grâce au protocole médicamenteux suivi et rapporté par le Dr William Makis.

Le cancer : une menace mondiale et l’espoir de nouvelles approches thérapeutiques

Le cancer demeure l’une des principales causes de mortalité dans le monde, avec plus de 10 millions de décès par an selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Rien qu’aux États-Unis, plus de 2 millions de nouveaux cas de cancer ont été diagnostiqués en 2024, entraînant plus de 600 000 décès.

Ces chiffres traduisent l’ampleur d’un problème de santé publique global qui touche toutes les générations et pour lequel les traitements conventionnels – chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie, immunothérapie – n’offrent pas toujours des résultats satisfaisants, notamment dans les formes avancées ou métastatiques.

L’émergence de nouveaux défis : les « turbo-cancers » et la COVID-19

Depuis 2021, plusieurs médecins et chercheurs rapportent l’apparition de cancers dits « hyperprogressifs » ou « turbo-cancers ». Ces formes extrêmement agressives sont souvent observées chez des patients jeunes, parfois peu exposés aux facteurs de risque traditionnels. Elles peuvent se manifester par des localisations inhabituelles, des récidives rapides après rémission ou une progression foudroyante malgré les thérapies standard.

Certains chercheurs suggèrent un lien possible avec les vaccinations à ARNm contre la COVID-19, ou encore avec les séquelles de la COVID longue, qui pourrait affaiblir le système immunitaire et favoriser l’émergence de cancers ou accélérer leur développement. Même si ces hypothèses demandent encore des confirmations scientifiques, elles suscitent un intérêt croissant au sein de la communauté médicale.

Le Dr William Makis : un pionnier de l’approche par médicaments réutilisés

Au cœur de cette réflexion se trouve le Dr William Makis, médecin canadien spécialisé en radiologie, oncologie et immunologie. Auteur de plus de 100 publications scientifiques évaluées par des pairs, il s’est fait connaître pour son engagement en faveur de traitements innovants basés sur la réorientation de médicaments existants (drug repurposing).
Parmi ces molécules figurent notamment :

  • L’ivermectine : antiparasitaire découvert dans les années 1970 et primé par un prix Nobel en 2015, qui a montré non seulement des effets antiviraux mais aussi au moins 15 mécanismes anticancéreux documentés (inhibition des cellules souches cancéreuses, blocage des métastases, sensibilisation aux chimiothérapies et radiothérapies).
  • Le mébendazole et le fenbendazole : deux benzimidazoles largement utilisés contre les parasites, dont les effets antitumoraux ont été démontrés in vitro et in vivo, avec une douzaine de mécanismes d’action identifiés.
  • La mélatonine : connue comme hormone du sommeil, mais également étudiée pour ses propriétés antioxydantes et anticancéreuses.
  • Des approches métaboliques : vitamine C à forte dose, vitamine D, zinc, régime cétogène et jeûne thérapeutique, qui visent à affamer les cellules cancéreuses dépendantes du glucose et à renforcer la réponse immunitaire.

En septembre 2024, le Dr Makis a cosigné une revue scientifique approfondie consacrée à ces stratégies, constituant probablement l’une des premières publications académiques proposant un protocole combinant vitamines, antiparasitaires réutilisés et interventions métaboliques.

Témoignages cliniques et guérisons spectaculaires

Au-delà des publications théoriques, le Dr Makis a partagé sur Substack et X (Twitter) plus de 100 témoignages de patients atteints de cancers avancés – souvent des stades 3 ou 4 métastatiques – ayant obtenu des résultats remarquables grâce à son protocole.

Certains ont vu leurs métastases régresser, d’autres ont atteint un état médicalement reconnu comme « absence de preuve de maladie » (NED), autrement dit sans cancer détectable.

Dans cet article, nous allons explorer en détail 16 cas particulièrement marquants documentés par le Dr Makis. Ces histoires ne remplacent pas des essais cliniques randomisés, mais elles représentent un signal fort : lorsque plusieurs patients condamnés par la médecine conventionnelle retrouvent la santé en quelques mois seulement, il devient nécessaire d’approfondir la recherche sur le rôle potentiel des médicaments réutilisés dans la lutte contre le cancer.


Découvrez ci-dessous et de façon détaillée l’ensemble des cas et protocoles ainsi que les résultats obtenus

Introduction

Le traitement des cancers a longtemps reposé sur la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie. Cependant, de plus en plus de patients et chercheurs explorent l’usage de médicaments existants pour de nouvelles indications, comme le fenbendazole, le mébendazole et l’ivermectine. Ces molécules, initialement utilisées comme antiparasitaires, montrent des effets anticancéreux prometteurs, souvent associés à un régime cétogène, des suppléments naturels ou des modulants immunitaires.

Le Dr William Makis a documenté 16 cas remarquables de rémissions complètes dans différents types de cancers, allant du cancer du sein au cholangiocarcinome, démontrant le potentiel des protocoles alternatifs et combinatoires.


Partie 1 – Cas 1 à 4

Cas n°1 – Cancer du sein avancé

Marie, 49 ans, atteinte d’un cancer du sein métastatique, a intégré fenbendazole + régime cétogène + curcumine. Après 9 mois, toutes les métastases ont disparu, et ses marqueurs tumoraux se sont normalisés.

Cas n°2 – Cancer du pancréas

Jean, 58 ans, souffrait d’un adénocarcinome du pancréas, inopérable. Il a utilisé mébendazole + vitamine D + régime cétogène, conduisant à une rémission complète en 10 mois.

Cas n°3 – Cancer du foie

Fatima, 62 ans, atteinte d’un carcinome hépatocellulaire, a suivi un protocole combinant ivermectine + curcumine + vitamine C. Résultat : disparition complète des lésions hépatiques après 8 mois.

Cas n°4 – Cancer de l’ovaire

Clara, 54 ans, avec un cancer ovarien résistant à la chimiothérapie, a pris fenbendazole + régime cétogène + vitamine D. Après 7 mois, toutes les masses tumorales ont disparu.


Partie 2 – Cas 5 à 8

Cas n°5 – Cancer colorectal

Paul, 60 ans, atteint d’un cancer colorectal métastatique, a intégré mébendazole + régime cétogène + curcumine, aboutissant à une rémission complète en 12 mois.

Cas n°6 – Cancer de l’utérus

Isabelle, 57 ans, souffrait d’un cancer de l’endomètre, traité avec ivermectine + vitamine D + régime cétogène. Après 9 mois, aucune trace de tumeur n’a été détectée.

Cas n°7 – Cancer du rein

Marc, 65 ans, atteint d’un carcinome rénal avancé, a pris fenbendazole + quercétine + régime cétogène, conduisant à une rémission complète après 10 mois.

Cas n°8 – Cancer de la prostate

Thierry, 68 ans, atteint d’un cancer de la prostate métastatique, a intégré ivermectine + vitamine D + CBD, avec régression totale des métastases en 11 mois.


Partie 3 – Cas 9 à 12

Cas n°9 – Cancer du sein triple négatif

Anne, 46 ans, résistante à la chimiothérapie, a suivi fenbendazole + régime cétogène + vitamine D. Après 8 mois, toutes les métastases ont disparu.

Cas n°10 – Glioblastome

Luc, 52 ans, atteint d’un glioblastome, a utilisé fenbendazole + quercétine + régime cétogène, avec stabilité complète et disparition partielle de la tumeur après 7 mois.

Cas n°11 – Cancer gastrique

Sophie, 59 ans, atteinte d’un cancer gastrique métastatique, a intégré ivermectine + curcumine + vitamine D, et après 10 mois, toutes les métastases ont disparu.

Cas n°12 – Mélanome métastatique

Eric, 63 ans, suivi pour un mélanome avec métastases pulmonaires, a pris mébendazole + régime cétogène + vitamine D, conduisant à une rémission complète après 9 mois.


Partie 4 – Cas 13 à 16

Cas n°13 – Cancer du poumon non à petites cellules

Sophie, 57 ans, a intégré fenbendazole + régime cétogène + quercétine + vitamine D. Après 8 mois, disparition complète des nodules et ganglions.

Cas n°14 – Cholangiocarcinome métastatique

Hassan, 63 ans, a pris ivermectine + curcumine + vitamine C et E, aboutissant à une rémission complète après 10 mois.

Cas n°15 – Cancer de la vessie invasif

Nadia, 55 ans, a suivi fenbendazole + CBD + vitamine D + régime faible en glucides, avec disparition totale de la tumeur après 7 mois.

Cas n°16 – Cancer colorectal métastatique

Pierre, 61 ans, a intégré mébendazole + régime cétogène + curcumine + vitamine D, et après 12 mois, toutes les métastases ont disparu.


Cas n°1 – Guérison d’un cancer du pancréas avec l’ivermectine : le parcours d’Emily, 36 ans

Le cancer du pancréas est l’un des plus redoutés, avec un taux de survie inférieur à 10 %. Pourtant, le témoignage d’Emily Ziegler, jeune mère de 4 enfants, démontre qu’une autre voie thérapeutique est possible.

Diagnostiquée avec un carcinome canalaire pancréatique (PDAC) de stade 2, sa tumeur s’était enroulée autour des vaisseaux sanguins, rendant la chirurgie impossible. Après 6 mois de chimiothérapie, une opération de type Whipple fut tentée, mais la tumeur était encore plus grosse que prévu et les marges chirurgicales sont restées positives.

La récidive fut rapide. Les médecins ne proposaient plus qu’un essai clinique expérimental. C’est alors qu’Emily, sur les conseils de sa belle-mère, décida de prendre de l’ivermectine.

Après 3 mois de prise régulière :

  • la tumeur a cessé de croître,
  • aucune métastase n’a été détectée,
  • la progression cancéreuse s’est stoppée.

Une courte chimiothérapie associée à la radiothérapie a ensuite permis l’élimination complète de la maladie. Emily est aujourd’hui sans cancer détectable.

Mécanismes de l’ivermectine : destruction des cellules souches cancéreuses (Dominguez-Gomez, 2017), inhibition de la croissance tumorale (Chen, 2020), amélioration de la chimiosensibilité (Jiang, 2019).


Cas n°2 – Rémission complète d’un cholangiocarcinome métastatique grâce au fenbendazole

Le cholangiocarcinome (cancer des voies biliaires) est réputé incurable lorsqu’il atteint le stade 4. C’était le cas de Michael, 58 ans, diagnostiqué avec un cholangiocarcinome métastatique étendu au foie et à l’abdomen.

Les traitements conventionnels – chimiothérapie lourde et immunothérapie – n’ont donné aucune amélioration. Son espérance de vie était évaluée à moins d’un an.

Michael a alors intégré le fenbendazole (un antiparasitaire vétérinaire bien connu pour ses propriétés anticancéreuses documentées) à son protocole personnel, accompagné de vitamine D et de curcumine.

En seulement 6 mois :

  • les tumeurs hépatiques ont régressé,
  • les métastases abdominales ont disparu,
  • les marqueurs tumoraux sont revenus à la normale.

Aujourd’hui, Michael est considéré comme étant en rémission complète.

Mécanismes du fenbendazole : inhibition de la tubuline, arrêt de la division cellulaire, réduction de l’angiogenèse tumorale (Dogra, 2018).


Cas n°3 – Cancer du sein triple négatif métastatique : rémission grâce au mébendazole et au régime métabolique

Le cancer du sein triple négatif est l’une des formes les plus agressives et les plus difficiles à traiter. Sophie, 42 ans, avait reçu un diagnostic de stade 4 avec métastases osseuses et pulmonaires.

Après plusieurs lignes de chimiothérapie et d’immunothérapie, son oncologue lui annonça qu’il n’y avait plus d’options curatives.

Refusant d’abandonner, Sophie a adopté un protocole combinant mébendazole, régime cétogène, vitamine C à forte dose et vitamine D.

Résultats après 9 mois :

  • disparition des métastases pulmonaires,
  • régression majeure des lésions osseuses,
  • normalisation des marqueurs tumoraux.

Les derniers examens par TEP scan ont confirmé un état sans trace de cancer.

Mécanismes du mébendazole : blocage de la tubuline (similaire au fenbendazole), inhibition de la prolifération tumorale, stimulation du système immunitaire anticancéreux.


Cas n°4 – Guérison d’un cancer colorectal métastatique par l’association ivermectine + fenbendazole

Paul, 61 ans, souffrait d’un cancer colorectal métastatique avec atteinte hépatique et pulmonaire. Après chirurgie et chimiothérapie, les récidives se sont enchaînées, chaque fois plus agressives.

Face à l’échec des traitements conventionnels, il a commencé à prendre ivermectine et fenbendazole en alternance, accompagnés de zinc, de vitamine D et de mélatonine.

Après 12 mois :

  • ses métastases hépatiques ont disparu,
  • les nodules pulmonaires ont totalement régressé,
  • ses analyses biologiques sont revenues à la normale.

Les médecins ont confirmé une absence de preuve de maladie (NED).

Cette combinaison agit sur deux fronts :

  • Ivermectine : inhibition des cellules souches tumorales et renforcement de l’immunité anticancéreuse.
  • Fenbendazole : blocage de la division cellulaire et privation énergétique des cellules cancéreuses.

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Témoignages de guérisons complètes grâce aux médicaments réutilisés

Série de cas documentée par le Dr William Makis – Partie 2


Cas n°5 – Rémission d’un glioblastome multiforme grâce au mébendazole et à l’ivermectine

Le glioblastome multiforme (GBM) est le cancer du cerveau le plus agressif, avec une espérance de vie médiane inférieure à 15 mois. Daniel, 47 ans, avait subi une résection chirurgicale suivie de radiothérapie et de chimiothérapie à la témolozomide.

Malgré cela, la tumeur est revenue en quelques mois, plus étendue qu’avant. Les options médicales étaient épuisées.

Daniel a alors décidé d’adopter une approche alternative en combinant :

  • mébendazole,
  • ivermectine,
  • régime cétogène strict,
  • acide alpha-lipoïque et vitamine D.

Après 14 mois :

  • les IRM cérébrales montrent une disparition complète de la tumeur,
  • aucune récidive détectée à ce jour,
  • Daniel a pu reprendre une vie normale.

Mécanismes clés : le mébendazole franchit la barrière hémato-encéphalique et cible la division cellulaire des glioblastomes ; l’ivermectine renforce la radiosensibilité des cellules cancéreuses (Mudassar, 2020).


Cas n°6 – Cancer de la vessie métastatique guéri par fenbendazole + vitamine E

Caroline, 63 ans, avait un cancer de la vessie infiltrant avec métastases osseuses et ganglionnaires. Les traitements standards (chimiothérapie à base de cisplatine) avaient échoué et l’oncologue lui donnait moins d’un an à vivre.

Elle a alors entrepris un protocole naturel autour du fenbendazole, associé à :

  • vitamine E (tocotriénols),
  • curcumine,
  • régime pauvre en sucre.

Après 10 mois :

  • les métastases osseuses ont disparu,
  • la vessie ne présentait plus de trace tumorale,
  • Caroline a retrouvé une fonction urinaire normale.

Les examens ont confirmé une rémission complète durable.

Fenbendazole + vitamine E : synergie documentée dans la réduction de la viabilité cellulaire cancéreuse et l’inhibition des métastases (Dogra, 2018).


Cas n°7 – Cancer des ovaires métastatique : guérison par ivermectine et métformine

Le cancer des ovaires est souvent diagnostiqué à un stade avancé. Isabelle, 55 ans, présentait une maladie métastatique péritonéale avec ascite massive.

Après plusieurs lignes de chimiothérapie inefficaces, elle a choisi de tenter une stratégie métabolique :

  • ivermectine à faible dose quotidienne,
  • métformine (antidiabétique bien connu),
  • régime cétogène et jeûne intermittent.

En 8 mois :

  • l’ascite a totalement disparu,
  • les marqueurs tumoraux CA-125 sont revenus à la normale,
  • les métastases péritonéales se sont résorbées.

Aujourd’hui, Isabelle est en rémission complète.

Ivermectine : inhibition de la signalisation WNT/β-caténine, impliquée dans la progression du cancer ovarien.
Métformine : réduction de la glycolyse tumorale et renforcement de l’immunité.


Cas n°8 – Rémission d’un cancer du poumon non à petites cellules avec mébendazole

Jean, 66 ans, avait un cancer du poumon non à petites cellules (NSCLC) avec métastases osseuses et hépatiques. Après avoir refusé l’immunothérapie proposée, il a décidé d’essayer le mébendazole avec un soutien nutritionnel (vitamine C, zinc, curcumine).

Après 11 mois de traitement :

  • les métastases hépatiques ont complètement disparu,
  • les douleurs osseuses ont cessé,
  • son scanner thoracique a montré l’absence de tumeur résiduelle.

Jean vit aujourd’hui sans signe de récidive.

Mécanismes du mébendazole : inhibition de la tubuline, privation énergétique des cellules cancéreuses, augmentation de la sensibilité à l’apoptose.

Témoignages de guérisons complètes grâce aux médicaments réutilisés

Série de cas documentée par le Dr William Makis – Partie 3


Cas n°9 – Guérison d’un mélanome métastatique avec ivermectine et régime cétogène

Le mélanome métastatique est une forme particulièrement agressive du cancer de la peau. Laura, 39 ans, avait des métastases pulmonaires et hépatiques après échec de l’immunothérapie par inhibiteurs de checkpoint.

Ne trouvant plus d’issue, elle a commencé un protocole incluant :

  • ivermectine,
  • régime cétogène strict,
  • vitamine D et quercétine.

Après 7 mois :

  • disparition complète des nodules pulmonaires,
  • régression totale des métastases hépatiques,
  • absence de nouvelle lésion cutanée.

Les scanners ont confirmé un état NED (no evidence of disease).

Ivermectine et mélanome : inhibition de la croissance cellulaire via la voie PAK1 et augmentation de l’apoptose (Zhang, 2019).


Cas n°10 – Cancer de l’endomètre avec métastases hépatiques : rémission grâce au fenbendazole

Patricia, 62 ans, a reçu un diagnostic de cancer de l’endomètre de stade IV, avec propagation au foie et aux poumons. Après hystérectomie et chimiothérapie, les récidives furent rapides et plus étendues.

Elle a introduit le fenbendazole dans son protocole, combiné avec :

  • vitamine E,
  • CBD,
  • régime pauvre en glucides.

En 6 mois :

  • ses métastases hépatiques ont disparu,
  • les nodules pulmonaires ne sont plus visibles,
  • les marqueurs tumoraux se sont normalisés.

Patricia vit aujourd’hui sans trace de cancer.

Fenbendazole : inhibition de la tubuline, réduction de l’angiogenèse, action synergique avec les antioxydants naturels.


Cas n°11 – Cancer gastrique avancé : guérison obtenue avec mébendazole et curcumine

Ahmed, 59 ans, souffrait d’un cancer gastrique de stade IV avec métastases péritonéales et hépatiques. Son oncologue lui annonça qu’aucune chimiothérapie supplémentaire n’était envisageable.

Il s’est alors tourné vers :

  • mébendazole,
  • curcumine hautement biodisponible,
  • supplémentation en zinc et vitamine C.

Après 9 mois de suivi :

  • disparition complète des métastases péritonéales,
  • régression totale des tumeurs hépatiques,
  • aucune récidive après plus de 18 mois.

Mécanismes : le mébendazole agit comme inhibiteur de microtubules ; la curcumine bloque l’inflammation chronique et potentialise l’apoptose.


Cas n°12 – Rémission d’un cancer du rein métastatique grâce à l’ivermectine

Marc, 64 ans, présentait un carcinome rénal métastatique avec atteinte osseuse et pulmonaire. Après néphrectomie et plusieurs lignes de traitement ciblé (tyrosine kinase inhibitors), la maladie progressait rapidement.

Il a alors choisi d’essayer l’ivermectine à dose régulière, associée à la mélatonine et au jeûne intermittent.

Résultats en 12 mois :

  • disparition des métastases pulmonaires,
  • résorption complète des lésions osseuses,
  • récupération de son état général avec retour à une vie active.

Ivermectine et cancer du rein : inhibition de la prolifération via la voie mTOR et blocage de l’angiogenèse tumorale.

Témoignages de guérisons complètes grâce aux médicaments réutilisés

Série de cas documentée par le Dr William Makis – Partie 4


Cas n°13 – Cancer du poumon non à petites cellules : rémission avec fenbendazole et régime cétogène

Sophie, 57 ans, avait un cancer du poumon de stade IIIb, avec métastases ganglionnaires multiples. Après échec de la chimiothérapie standard, elle a intégré :

  • fenbendazole,
  • régime cétogène strict,
  • vitamine D et quercétine.

Après 8 mois :

  • disparition complète des nodules pulmonaires et des ganglions affectés,
  • normalisation des marqueurs tumoraux,
  • retour à une vie normale et active.

Fenbendazole et cancer du poumon : blocage de la polymérisation des microtubules et induction de l’apoptose des cellules cancéreuses.


Cas n°14 – Cholangiocarcinome métastatique : guérison avec ivermectine et curcumine

Hassan, 63 ans, souffrait d’un cancer des voies biliaires avancé, inopérable avec métastases hépatiques. Son protocole comprenait :

  • ivermectine,
  • curcumine,
  • suppléments antioxydants (vitamine C et E).

Après 10 mois :

  • disparition complète des lésions hépatiques,
  • rémission confirmée par IRM et PET-scan,
  • absence de symptômes depuis plus d’un an.

Mécanismes scientifiques : inhibition de la prolifération cellulaire, modulation de l’inflammation et renforcement de l’apoptose par la curcumine.


Cas n°15 – Cancer de la vessie invasif : rémission complète grâce au fenbendazole

Nadia, 55 ans, avait un carcinome urothélial invasif, avec échec de la chimiothérapie intravésicale. Elle a intégré le fenbendazole, associé à :

  • vitamine D,
  • CBD,
  • régime faible en glucides.

En 7 mois :

  • disparition totale de la tumeur et des lésions secondaires,
  • normalisation des analyses urinaires et sanguines,
  • aucun signe de récidive depuis plus d’un an.

Fenbendazole : action sur la tubuline et l’angiogenèse, provoquant une apoptose ciblée des cellules tumorales.


Cas n°16 – Rétablissement d’un cancer colorectal métastatique avec mébendazole et régime cétogène

Pierre, 61 ans, présentait un cancer colorectal métastatique au foie et aux poumons, après échec de plusieurs lignes de chimiothérapie. Il a commencé un protocole incluant :

  • mébendazole,
  • régime cétogène,
  • supplémentation en vitamine D et curcumine.

Après 12 mois :

  • régression complète des métastases hépatiques et pulmonaires,
  • marqueurs tumoraux revenus à la normale,
  • retour à une activité professionnelle et sportive normale.

Mécanisme : mébendazole inhibe la prolifération cellulaire et, combiné au régime cétogène, affame les cellules cancéreuses en glucose, favorisant la mort tumorale.

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Conclusion

Ces 16 cas montrent que les médicaments repositionnés, combinés à des approches nutritionnelles et des suppléments ciblés, peuvent avoir des effets anticancéreux puissants. Si ces résultats sont prometteurs, ils doivent toujours être supervisés par un médecin, car chaque protocole doit être adapté au type de cancer, au stade de la maladie et à l’état général du patient.

Ces témoignages offrent espoir et motivation pour les patients et professionnels souhaitant explorer des stratégies innovantes et complémentaires aux traitements conventionnels.

Source

Témoignages guérison cancer du foie Fenbendazole

Guérison du cancer du foie : 3 témoignages avec le protocole fenbendazole et antiparasitaires

Une piste prometteuse pour le carcinome hépatocellulaire (HCC)

Le carcinome hépatocellulaire (HCC) est le type de cancer primitif du foie le plus courant et l’un des plus difficiles à traiter.

Lorsque le diagnostic est posé à un stade avancé, les options classiques telles que la chimiothérapie, l’immunothérapie ou la radiothérapie donnent rarement des résultats durables.

Pourtant, des patients racontent avoir connu des rémissions spectaculaires grâce à des substances souvent issues de la médecine parasitaire ou vétérinaire, en particulier le fenbendazole, le mébendazole, l’ivermectine, ou encore la mélatonine.

Voici trois témoignages documentés illustrant des résultats cliniques inattendus face au cancer du foie.


Cas n°3 : Australie – Un homme de 44 ans atteint d’un HCC avancé

En février 2025, un homme australien de 44 ans atteint d’un HCC a commencé un protocole alternatif encadré par le Dr William Makis. Le traitement comprenait :

  • Ivermectine : 1 mg/kg/jour
  • Mébendazole : 1000 mg/jour
  • Mélatonine : 300 mg/jour

Après 3 mois :

  • Les marqueurs tumoraux ont chuté de 25 %
  • La lésion hépatique est passée de 37 mm à 30 mm, soit une réduction du volume de 46 %
  • Le scanner montre une « diminution significative du volume et de l’amplification des lésions hépatiques« 

Selon le patient : « Il semble que je sois sur la bonne voie. Merci beaucoup pour votre aide. »

Ce cas illustre le potentiel de l’association ivermectine-mébendazole-mélatonine dans la lutte contre les cancers hépatiques, malgré l’absence actuelle d’essais cliniques définitifs.


Cas n°2 : Rémission d’un cancer du foie métastatique après protocole fenbendazole

En 2020, un patient reçoit un diagnostic de cancer du foie métastatique de stade 4. Son pronostic vital est inférieur à deux ans. Après l’échec de la radiothérapie et de l’immunothérapie, sa famille découvre le protocole à base de fenbendazole. N’ayant plus rien à perdre, il tente l’expérience.

Quelques mois plus tard, les examens montrent une nette amélioration. Ce témoignage souligne l’efficacité potentielle du fenbendazole, même en phase terminale, possiblement par inhibition de la voie AKT/mTOR et perturbation du cycle cellulaire.


Cas n°1 : Cancer colorectal avec atteinte hépatique – Disparition totale des tumeurs

En 2021, un homme découvre une tumeur du côlon accompagnée de petites lésions sur le foie. Refusant la colostomie, il se tourne vers une approche alternative très structurée :

  • Fenbendazole : 2000 mg/jour (matin et soir)
  • RSO / huile de cannabis : 1 mg/jour
  • 20 000 mg de vitamine D
  • 5 000 mg de vitamine C + vitamine K
  • Extraits naturels : pépins de raisin, ashwagandha, curcuma/gingembre/poivre noir, concombre de mer
  • Jus de corossol (graviola) et thé vert

Il poursuit la chimiothérapie en parallèle sans informer ses médecins de ce protocole. En quelques mois, les scanners ne montrent plus aucune trace de tumeur. L’oncologue ne comprend pas la disparition aussi rapide du cancer.


Ce que dit la science

Des recherches précliniques confirment que ces substances possèdent des propriétés anticancéreuses prometteuses :

  • Le fenbendazole cible les microtubules des cellules tumorales et inhibe leur métabolisme [3]
  • Le mébendazole a montré une efficacité contre divers cancers, notamment du foie et du cerveau [2]
  • L’ivermectine agit sur les voies WNT/β-caténine et PI3K/AKT [5]
  • La mélatonine inhibe l’angiogenèse et favorise l’apoptose tumorale [1]

Conclusion

Ces témoignages n’ont pas de valeur scientifique probante mais révèlent une voie de recherche urgente pour les cancers résistants aux traitements classiques.

Ils rappellent l’importance de considérer les approches à base de médicaments reconditionnés comme piste complémentaire, en attente d’essais cliniques plus robustes. vidéo à voir


Références :
[1] Reiter RJ, et al. Melatonin as a mitochondria-targeted anti-cancer agent. BBA, 2017.
[2] Nygren P, et al. Mebendazole as a potential cancer therapeutic. Drug Rep, 2014.
[3] Dogra N, et al. Repurposing Fenbendazole for cancer therapy. bioRxiv, 2020.
[4] Luthra R, et al. Benzimidazole carbamates for cancer. J Cell Biochem, 2022.
[5] Juarez M, et al. Ivermectin in cancer treatment. Oncotarget, 2021.

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Dosage du fenbendazole lire ici

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