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Le fenbendazole est un ancien antiparasitaire, mis au point dans les années 1970. Bon marché et disponible hors brevet, il a montré dans des études de laboratoire et sur l’animal une capacité à perturber la croissance des cellules cancéreuses. Pourtant, plus de 50 ans après son développement, il n’a jamais obtenu l’aval de la Food and Drug Administration (FDA) pour une utilisation contre le cancer.
La raison ? L’absence d’essais cliniques à grande échelle. Or, sans sponsor industriel capable d’investir près d’un milliard de dollars dans des phases successives de tests (sécurité, efficacité, comparaison à grande échelle), aucun médicament ne peut être officiellement homologué aux États-Unis.
Le débat autour du fenbendazole suscite un vif intérêt depuis quelques années. Bien que des travaux en laboratoire et sur animaux aient montré qu’il pouvait bloquer la croissance de cellules cancéreuses, ce médicament vétérinaire à bas prix n’a jamais été validé comme traitement anticancéreux par la FDA (Food and Drug Administration). La raison n’est pas uniquement scientifique, elle est aussi économique et réglementaire.
Pour obtenir la mention « anticancéreux » sur une étiquette, il faut franchir plusieurs étapes :
À cela s’ajoutent : inspections, études toxicologiques, et un volume considérable de dossiers réglementaires.
Le coût médian estimé pour amener un nouveau médicament sur le marché : environ 985 millions de dollars selon une étude JAMA (2020). Pour les anticancéreux, la facture grimpe souvent entre 1 et 2 milliards de dollars.
Le fenbendazole est tombé dans le domaine public depuis longtemps :
Une entreprise pourrait tenter de breveter une formulation modifiée, mais les protections seraient fragiles et peu rentables. En clair, le potentiel économique est trop faible pour intéresser les grands laboratoires.
Les médicaments contre le cancer représentent aujourd’hui l’un des marchés les plus lucratifs :
Face à cela, un traitement comme le fenbendazole coûterait moins de 100 $ par mois. Inutile de dire qu’il ne fait pas rêver Wall Street.
La réalité, c’est la toxicité financière du cancer :
Exemple typique : un foyer de classe moyenne doit gérer un traitement ciblé à 20 000 $ par mois. Même avec une assurance, les frais annexes (déplacements, hébergements, arrêts de travail) plongent la famille dans l’endettement.
Un traitement sûr et peu coûteux pourrait changer la donne, mais l’absence de rentabilité bloque son exploration clinique.
Si le fenbendazole était validé, il réduirait drastiquement ces coûts. Mais sans sponsor, il reste ignoré.
En conséquence :
Le fenbendazole n’est pas rejeté parce qu’il est inefficace, mais parce qu’il est non rentable dans le modèle actuel de développement pharmaceutique.
Pendant que les familles se battent contre la maladie et la faillite, des options abordables restent inexploitées, piégées dans un système qui valorise le profit avant le potentiel thérapeutique.
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