Harpagophytum Biologique

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L’Harpagophytum Bio – l’ami de vos articulations

Harpagophytum Bio articulation saine

L’harpagophytum est une herbe qui pousse dans le désert du Kalahari et la savane semi-désertique. Le robinier est riche en terpénoïdes, composés phénoliques et minéraux.

Harpagophytum - dit griffe du diable

C’est une liane qui pousse au sol, et son fruit est très reconnaissable et possède des griffes. Les gardiens ont d’abord pensé qu’il s’agissait d’une nuisance car le fruit pouvait blesser les pattes de l’animal.

Le terme “griffe du diable” est utilisé par la population locale pour désigner la danse sauvage que l’animal exécute pour se débarrasser du fruit piégé dans son sabot.

Cela fait également partie de la stratégie de reproduction de la plante, car les graines sont lentement libérées des fruits crochus, qui sont souvent pris dans les pattes de l’animal.

L’harpagophytum victime de son efficacité.

Des techniques de culture in vitro ont été développées et peuvent constituer une alternative viable si la cueillette est restreinte.

A ce jour, la cueillette par quelqu’un qui connaît bien la plante tend à préserver l’espèce. D’un autre côté, la demande accrue d’usages médicinaux et l’appât du gain peuvent altérer les ressources naturelles à long terme.

Les stolons des lianes peuvent mesurer jusqu’à 2 mètres de long et se développer à partir de tubercules primaires. Ceux-ci peuvent se frayer un chemin jusqu’à 2 mètres de profondeur.

De la tige pousseront plusieurs tubercules de stockage secondaires, jusqu’à 25 cm de taille, récoltés à des fins médicinales.

Les principaux composés phytochimiques actifs sont les glycosides iridoïdes (harpagosides, harpagid et procumbide), qui sont plus abondants dans les tubercules et les racines.

Harpagophytum Biologique

Les harpagosides de l’harpagophytum

Les harpagosides ont montré in vitro qu’ils réduisaient l’inflammation en limitant l’activité des enzymes impliquées dans l’inflammation (iNOS et COX-2).

Harpagophytum Bio en 3d

Ces propriétés anti-inflammatoires semblent être induites par un mécanisme bien connu des immunologistes : l’inhibition de l’activation de NF-κB, une molécule que les cellules produisent lorsqu’elles détectent un danger d’infection (c’est ainsi qu’elle alerte le système immunitaire).

Les scientifiques proposent que des composés phytochimiques autres que les harpagosides puissent aider à calmer la réponse inflammatoire causée par Harpagophytum procumbens.

En effet, certaines études décevantes chez l’animal, utilisant des harpagosides purifiés, ont montré que les effets anti-inflammatoires ne sont pas produits uniquement par ces harpagosides, mais par la présence de plusieurs molécules actives.

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Activité chondroprotectrice de l’Harpagophytum

Des extraits de cette plante présentent une activité chondroprotectrice in vitro, c’est-à-dire une protection des chondrocytes.

Plusieurs mécanismes ont été mis en évidence : diminution de la synthèse de molécules inflammatoires (ex. TNF-α et interleukine-1β) et inhibition d’enzymes couramment associées aux phénomènes inflammatoires articulaires : métalloprotéinases et élastases.

Plusieurs études cliniques humaines ont montré que divers extraits de tubercule (équivalent à 50-60 mg d’harpagoside par jour pendant 8 à 16 semaines, selon les études) amélioraient significativement les articulations chez les sujets ayant des problèmes articulaires Confort et amplitude de mouvement.

Une revue de la littérature médicale de 2014 par la Cochrane Library a montré que la prise d’Harpagophytum (équivalent à 40-100 mg d’harpagoside par jour) était plus efficace qu’un placebo pour réduire les maux de dos.

L’Agence européenne des médicaments reconnaît l’usage traditionnel de l’Harpagophytum pour soulager les douleurs articulaires légères, ainsi que les ballonnements, les gaz et la perte temporaire d’appétit” .

De son côté, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) reconnaît une utilisation “cliniquement prouvée” dans le cadre des douleurs liées aux rhumatismes.

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Ces produits sont élaborés conformément au Règlement (CE) n° 834/2007 du Parlement européen et du Conseil du 28 juin 2007 et à ses modifications ultérieures, relatif à la production biologique et à l’étiquetage des produits biologiques, afin de garantir la protection des intérêts des consommateurs et leur confiance.

Sources :

1.Mncwangi, N., et al., Devil’s Claw-a review of the ethnobotany, phytochemistry and biological activity of Harpagophytum procumbens. J Ethnopharmacol, 2012. 143(3): p. 755-71.
2.Dragos, D., et al., Phytomedicine in Joint Disorders. Nutrients, 2017. 9(1): p. 70. https://www.mdpi.com/2072-6643/9/1/70
3.Menghini, L., et al., Devil’s claw (Harpagophytum procumbens) and chronic inflammatory diseases: A concise overview on preclinical and clinical data. Phytother Res, 2019. 33(9): p. 2152-2162.
4.Oltean, H., et al., Herbal medicine for low-back pain. Cochrane Database Syst Rev, 2014. 2014(12): p. Cd004504.
5.EMA, European Union herbal monograph on Harpagophytum procumbens DC. and/or Harpagophytum zeyheri Decne., radix. EMA/HMPC/627057/2015, 2016: p.
6.Brendler, T., et al., Devil’s Claw : an evidence-based systematic review by the Natural Standard Research Collaboration. J Herb Pharmacother, 2006. 6(1): p. 89-126.

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